Jacques-Olivier Cuenin certifié.e @gmail.com
Directeur Marketing et digital à temps partagé
Bourghelles
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2923 ActinPoints
Frédéric Foveau certifié.e @foveau.net
Impact RSE : Faiseur de liens Freelance
Cysoing
2 formation(s) | 2 action(s)
786 ActinPoints
Jean-Louis VANHEE certifié.e @sarcouest.fr
Direction Générale : Président SARC
Le Rheu
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368 ActinPoints
Bertrand BRIDIER certifié.e @uphf.fr
Pole Developppement Durable et Responsabilité Sociétale : Econome de flux ZZ-ERASED-Université polytechnique des Hauts de France
Aulnoy-lez-Valenciennes
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134 ActinPoints
Patrice FILLONNEAU certifié.e @credit-plastique.green
Crédit plastique certifié, Je guide les entreprises comme les particuliers vers la neutralité plastique collaborative : Gérant fondateur CREDIT-PLASTIQUE.GREEN
Capbreton
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124 ActinPoints
BRICE SENDRA certifié.e @demetair-vegetalisation.com
Végétalisation : Fondateur DemetAir
Toulouse
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123 ActinPoints
Joey Groult certifié.e @2026.icam.fr
Promo 2026 : Parcours intégré Icam
Lille
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50 ActinPoints
Emilie CLAIRE certifié.e @gmail.com
Accompagnement des initiatives citoyennes de transition : Co-Dirigeante Réseau Transition Hauts-de-France
Wasquehal
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25 ActinPoints
Arthus Vielvoye certifié.e @gmail.com
- Chaumage
Paris 17e Arrondissement
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17 ActinPoints
Fanny CAZARD certifié.e @diorren-conseil.com
Consultant QSE RSE DIORREN Conseil
Paris 1er Arrondissement
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16 ActinPoints
Audrey Guilbert certifié.e @pigscanfly.fr
Communication : Communication digitale Pigs can Fly

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16 ActinPoints
Camille Le Guilloux certifié.e @kerezenn.com
Marketing : Formateur Kerezenn
Bagneux
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14 ActinPoints
Franck Soufflet certifié.e @gmail.com
- Aucune
Leers
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13 ActinPoints
Amaury Bouretz certifié.e @free.fr
Responsable marketing repenti, en cheminement vers des missions durables et responsables ??♻️ ZZ-ERASED-dentsu

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13 ActinPoints
Aline Coquoin Guéridon certifié.e @gmail.com
RSE : Consultant QSE RSE Green Me More
Nîmes
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12 ActinPoints
Nicolas VOGLIMACCI certifié.e @btwin.com
Informatique : Group Product Manager Btwin
Orchies
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12 ActinPoints
Jerome Langlant certifié.e @norsys.fr
Ingénieur d'affaires Norsys
Ennevelin
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12 ActinPoints
Ariane FAVIER certifié.e @yahoo.fr
Founder HOLO WAY
Barberaz
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12 ActinPoints
Éric Wien certifié.e @vmwh.fr
Consultant aux enjeux RSE

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12 ActinPoints
THOMAS DESBONNEZ certifié.e @sergic.com
Chargé de mission transition environnementale Sergic
Roubaix
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12 ActinPoints
Gaëlle Delpech certifié.e @gmail.com
Consultante stratégie RSE - Formatrice RSE
Plaisir
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11 ActinPoints Administrateur
Kasia Salos-Skibinska certifié.e @gmail.com
Facilitatrice de la Transition Écologique Kasia Salos
Tournefeuille
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11 ActinPoints
Agnes Chapelain certifié.e @sncf.fr
Direction développement durable : Responsable RSE SNCF

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11 ActinPoints
Camille Charriot certifié.e @harmonicinc.com
RSE : Coordinatrice RSE Harmonic

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11 ActinPoints
Lucie De Gusseme certifié.e @euratechnologies.com
Programmes : Startup manager greentech Euratechnologies
Lille
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11 ActinPoints
Jeimila Donty certifié.e @korai-africa.com
Direction Générale : Fondatrice Koraï
Lille
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10 ActinPoints
Anthony LESAGE certifié.e @live.fr
Assistant Ressources Humaines

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10 ActinPoints
Marion MAISTRE certifié.e @wanadoo.fr
Chargée de communication & chef de projet RSE Assurance Maladie
Paris 20e Arrondissement
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10 ActinPoints
Nathalie COMMEIRAS certifié.e @umontpellier.fr
Professeur des Universités Université de Montpellier

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10 ActinPoints
Jean-Christophe Rangon certifié.e @gmail.com
Formateur web full stack

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10 ActinPoints
Charlene Theodore certifié.e @laposte.net
Doctorante en sciences de gestion Université de Montpellier

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10 ActinPoints
Inès Dupont certifié.e @gmail.com
Chargée de mission RSE

0 formation(s) | 0 action(s)
10 ActinPoints
Olivier Debarge certifié.e @free.fr
Co-fondateur bizzConnect

0 formation(s) | 0 action(s)
10 ActinPoints
Clement Beauvallet certifié.e @aurevoircarbone.earth
Formation : Co-fondateur Au Revoir Carbone
Chaville
0 formation(s) | 0 action(s)
10 ActinPoints
Eric D'HEM certifié.e @magilist.com
Direction Générale : Fondateur ActinLink
Villeneuve-d'Ascq
1 formation(s) | 16 action(s)
0 ActinPoints
Pierre Durand certifié.e @free.fr
Support Technique : Support Technique ActinLink

0 formation(s) | 136 action(s)
0 ActinPoints
Agathe Marchyllie certifié.e @2025.icam.fr
Promo 2025 : Parcours intégré Icam
Lille
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Voici la liste des idées proposées pour .
Vous pouvez en soutenir en cliquant sur ou cliquer dessus afin d'obtenir plus d'informations, participer ou poser des questions.
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Utiliser des pneus reconditionnés
Produire des pneus neufs en 2023 est une aberration écologique.

Pourquoi ? Si je simplifie, un pneumatique est constitué de 2 morceaux distincts : une carcasse et une bande de roulement.

Quand on dit qu’un pneu est "usé", en réalité, seule la bande de roulement est réellement usée. Le reste est souvent intact.

Pour éviter de jeter bêtement tous nos pneus,
Jean-Baptiste PIERET a repris BLACK STAR , cette magnifique entreprise qui reconditionne des pneus pour leur donner une 2eme, 3eme.... 10eme vie ! Découvrez en photo le pneu LEONARD !

? Sur le volet environnemental, ce pneu nécessite 5 fois moins de matière qu’un pneu neuf et émet 63% d’émissions de Co2 en moins pour être produit.

? La qualité est également au rendez-vous : ce pneu est aussi performant et dure aussi longtemps qu'un pneu neuf premium. Oui car c’est justement la bande de roulement qui fait la qualité d’un pneu !

Cette magnifique histoire ne s’arrête pas là : pour produire Léonard, l’entreprise a décidé de reprendre l’usine Bridgestone qui avait fermé à Béthunes un an plus tôt !

https://black-star.fr
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14 soutiens
Tereos investi 400M€ pour décarboner ses sites dans les hauts-de-france
Le groupe sucrier Tereos compte une amidonnerie à Nesle (Somme) et six sucreries dans le Pas-de-Calais, l’Oise et l’Aisne. Des usines qui sont parmi les plus émettrices de gaz à effet de serre de l’industrie agroalimentaire. Les sites d’Origny-Sainte-Benoite (Aisne) et de Nesle figurent d’ailleurs dans la liste des 50 sites les plus polluants de la région.

Premier axe : réduire la consommation d’énergie

Le groupe coopératif sucrier a donc lancé un plan de décarbonation jusqu’à 2033. Sur les 800 millions d’euros qui seront investis en Europe, "40 à 50 % vont être utilisés pour les sites des Hauts-de-France", indique Jean-Yves Delamare, directeur Technologies, Ingénierie et Procédés chez Tereos. Selon les sites, l’investissement "passe du simple au triple, difficile à ce stade de donner des chiffres précis par usine".

Le premier axe de Tereos consiste à réduire la consommation d’énergie. "L’objectif est de réutiliser la chaleur fatale, avec l’installation d’échangeurs de récupération d’eau chaude, de nouveaux évaporateurs par exemple. La technologie existe déjà, c’est un gros avantage". Pour le site de Lillers (Pas-de-Calais), l’atelier de séchage des pulpes de betteraves, qui fonctionne au charbon, sera arrêté. "Nous conserverons uniquement la commercialisation de ces pulpes en l’état, pour les agriculteurs", précise Jean-Yves Delamare.

Électrification d’une partie du process

Cinq sucreries sur six utilisent des chaufferies au gaz pour produire la vapeur nécessaire au processus de production, "d’où la volonté dans le deuxième axe, d’électrifier. La part d’électricité dans les process va doubler et viendra accompagner une baisse de 65 % de la consommation de gaz". Une électrification qui nécessitera des travaux de raccordement du gestionnaire de réseau qui prendront selon la complexité, entre "quelques mois à quelques années".

18 millions d’euros pour une chaudière biomasse sur le site d’Attin

Pour le site d’Attin (Pas-de-Calais), qui utilise encore l’énergie charbon, une première tranche de travaux de 18 millions d’euros est prévue, pour installer une chaudière type biomasse.

Le groupe a déposé plusieurs demandes de subventions, notamment auprès de l’Ademe. "Ces types de dispositifs sont aujourd’hui compétitifs, mais il faut à la fois répondre aux critères et être meilleur que les autres. Nous déposons donc les demandes et nous verrons si elles aboutissent", admet le directeur.


Source : lejournaldesentreprises.com
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3 soutiens
Haguenau, au cœur de l’innovation hydrogène grâce au soutien du Grand Est
La Région Grand Est renforce son engagement en faveur de l’industrie décarbonée en attribuant une subvention de 3 millions d’euros à INNOPLATE. Ce soutien accompagne l’implantation d’un site industriel à Haguenau (67), dédié à la production de plaques bipolaires métalliques, un composant clé pour les batteries des véhicules hydrogène.

Un projet stratégique pour les mobilités propres
Lancé en juin 2022, le projet INNOPLATE est le fruit d’une collaboration franco-allemande entre les groupes SCHAEFFLER et SYMBIO, ce dernier étant une co-entreprise de FAURECIA et MICHELIN. Avec une capacité de production annuelle de 4 millions de plaques, l’usine de Haguenau pourra équiper près de 10 000 véhicules. Ce projet a été sélectionné pour sa compétitivité, en concurrence avec d'autres implantations internationales. Actuellement, 30 salariés travaillent sur le site, un effectif qui devrait quadrupler pour atteindre 120 collaborateurs d’ici 2028.

L’hydrogène, au cœur de la transition énergétique
L’hydrogène, une ressource stratégique pour la décarbonation, est au centre des priorités du Grand Est. Cette région investit activement dans sa stratégie régionale hydrogène, qui vise à structurer toute la filière, de la production à l’utilisation, en passant par le stockage et la distribution. Cette initiative s’inscrit dans une dynamique visant à réduire l’utilisation des énergies fossiles et à promouvoir des technologies innovantes pour les industries et les transports.

Un rôle moteur pour le Grand Est
Avec ce projet, la Région Grand Est confirme son rôle de leader dans le soutien aux technologies vertes et aux mobilités durables. En intégrant des projets comme INNOPLATE dans son écosystème industriel, elle contribue à renforcer la compétitivité locale tout en atteignant ses objectifs climatiques.

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3 soutiens
Serap innove avec la plus grande boucle locale d’autoconsommation d’électricité verte
nstallée à Gorron (Nord-Mayenne), Serap, leader mondial dans la fabrication de cuves à lait, a franchi une étape décisive en matière d’énergie verte. Grâce à son parc photovoltaïque, l’entreprise met en place la plus grande boucle locale d’autoconsommation des Pays de la Loire, permettant à ses salariés et retraités de profiter du surplus d’électricité produit.

À l’entrée du site, deux trackers solaires ajustent leurs panneaux selon la course du soleil, couvrant déjà 7 à 8 % des besoins en électricité de l’entreprise. Mais la véritable transformation est cachée derrière les ateliers : 1 300 panneaux fixes ont été installés en juillet 2023 sur une surface de 5 500 m², avec une production attendue de 650 000 kWh par an, soit la moitié des besoins du site. Le directeur financier et des ressources humaines, Arnaud Duchatelet, précise que l’installation sera pleinement opérationnelle en décembre, une fois validée par Enedis.

Cette démarche répond à plusieurs objectifs stratégiques : réduire les émissions de CO₂, limiter l’impact des variations des prix de l’énergie, mais aussi partager les bénéfices avec les salariés. Plutôt que de revendre son surplus à EDF, Serap a choisi de l’offrir aux employés et retraités habitant dans un rayon de 10 km. « C’est gagnant pour tout le monde», souligne Arnaud Duchatelet.

Les week-ends ou à la mi-journée, lorsque la production solaire dépasse les besoins du site, le surplus est injecté dans le réseau électrique existant. La boucle reste virtuelle : aucun nouveau câble n’est tiré jusqu’aux logements des bénéficiaires. Les compteurs Linky relèvent précisément la consommation des abonnés pendant ces périodes, tandis qu’Enercoop, coopérative bretonne, facture l’électricité à un prix réduit, couvrant uniquement les frais de gestion et les taxes. René Coneuf, retraité de Serap, s’en réjouit : « Je n’ai pas hésité ! Pas d’abonnement supplémentaire et une facture d’électricité réduite. »

Avec ce système innovant, Serap devient pionnière dans la région. Le projet incarne une réelle synergie entre économie circulaire et innovation énergétique, offrant des avantages concrets pour les employés tout en s’inscrivant dans une démarche écoresponsable. Serap invite déjà d’autres entreprises à rejoindre cette boucle locale d’autoconsommation. Maine Ateliers, un partenaire potentiel, prévoit d’y adhérer d’ici fin 2025.

Pour assurer sa croissance et accompagner ces évolutions, Serap recrute et forme de nouveaux salariés, qui pourront également profiter de cette offre verte et avantageuse. Un modèle à suivre pour allier innovation énergétique, compétitivité et responsabilité sociale.
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3 soutiens
Vers une santé durable : l’ARS Normandie agit pour réduire l’empreinte carbone
Le système de santé français contribue à 8 % de l’empreinte carbone nationale, avec 25 % des émissions provenant des blocs opératoires. En réponse, l’Agence régionale de santé (ARS) Normandie a lancé en mai 2023 un plan d’action ambitieux, incluant la création du label "bloc écoresponsable". Quatre structures hospitalières caennaises – le CHU, le Centre François Baclesse, la Fondation hospitalière de la Miséricorde et l’Hôpital privé Saint-Martin – ont déjà obtenu ce label, appuyé par une enveloppe de 300 000 euros.

Des initiatives concrètes à Caen
Depuis 2018, des mesures écoresponsables ont été mises en place dans les blocs opératoires labellisés. Cela inclut l’optimisation des agents anesthésiques, la réduction des déchets de soins à risque infectieux (compresses, pansements, seringues) et la revalorisation des métaux et plastiques. Ces efforts combinent la qualité des soins avec une démarche écologique, comme l’explique le Dr Stéphanie Deryckere, responsable du projet au CHU de Caen.

Des gains écologiques et économiques
Outre la réduction de l’empreinte carbone, ces mesures apportent également un bénéfice financier. Sébastien Delescluse, directeur général adjoint de l’ARS Normandie, souligne que la diminution de la consommation d’énergie et de produits médicaux génère des économies directes pour les établissements. Ce cercle vertueux, qui associe écologie et rentabilité, renforce la pertinence du plan d’action.

Un projet en expansion
Avec les services de santé représentant 45 % de l’empreinte carbone du secteur, les médicaments et dispositifs médicaux constituent les 55 % restants. L’ARS Normandie prévoit de lancer deux appels à projets supplémentaires pour s’attaquer à ces enjeux, étendant ainsi la portée de cette initiative vers une santé plus durable.
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3 soutiens
Karos, le covoiturage domicile-travail en complément des transports en commun
Karos est une application spécialisée propose un service de covoiturage dans la région d’Ile-de-France mais aussi dans plusieurs régions et villes de France telles qu’en Normandie, à Toulouse ou encore à Bordeaux.

Elle est connectée au réseau des transports en commun pour proposer les trajets les plus rapides, même si vous réservez votre covoiturage à la dernière minute.
Karos a une communauté de plus de 200.000 automobilistes prêts à co-voiturer.

Vous pouvez organiser des trajets courts ponctuels ou réguliers dans la région parisienne et dans les autres grandes villes françaises.

Les avantages :

  • Si vous possédez un pass Navigo, deux trajets quotidiens vous sont offerts.
  • En Ile-de-France, dans le cadre « Tous Ensemble pour le Covoiturage », vous pouvez bénéficiez des 30 premiers kilomètres gratuits.
  • Dans toutes les autres villes où le service Karos est présent, vous bénéficiez des 20 premiers kilomètres gratuits puis 0,10€ supplémentaires pour chaque kilomètre.
  • Karos ne prend pas de commission, les passagers se partagent les frais de transport à hauteur de 0,10€/km en moyenne.
    Il existe aussi une option pour le covoiturage 100% féminin nommée « Ladies Only » ou 100% masculin selon les envies des passagers.
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2 soutiens
L'emballage réutilisable pour le e-commerce : une solution pour limiter l'impact écologique
Des chiffres qui font mal à la tête concernant l'emballage utilisé en e-commerce en France (imaginez au niveau mondial) : 1,7 milliards de colis livrés soit 241 millions de tonnes d'emballages dont une partie beaucoup trop faible est recyclé avec seulement 14% du plastique recyclé et par contre 64% du papier / carton recyclé. C'est déjà cela mais ce n'est pas assez.
Le e-commerce représenterait près de 10% des émissions de GES : c'est énorme.
Les enjeux étant déjà de limiter les allers/retours des colis et donc des essais "gratuits" par les consommateurs achetant en e-commerce, c'est à dire, presque tout le monde. La solution numéro un étant de mettre un prix minimum dissuasif de frais de livraison, un peu dans le même principe que l'achat de livre en ligne - mais dont l'objectif premier était tout autre.
La solution numéro étant d'utiliser des emballages réutilisables comme peuvent le proposer plusieurs marques avec par exemple Hipli qui propose un emballage fabriqué en matière recyclée, qui soit réutilisable jusqu'à 100 fois avec un -83% d'impact carbone.
D'autres marques proposent des solutions d'emballages recyclés et recyclages comme mobiuspack et opopop.
Cela demande un investissement pour l'entreprise partenaire, mais apporte une solution à impact forte pour notre environnement, une excellente image auprès des clients et de l'interne et surtout une réduction des déchets énorme (-25 kg de déchets en utilisant un colis réutilisable).
Une nouvelle expérience qui doit devenir à terme une habitude d'utilisation indispensable.

Une partie des acteurs proposant ces colis à impact : 
https://opopop.co
https://hipli.fr
https://www.mobiuspack.com

L'article source. Vous pouvez trouvez d'autres articles dans les pages des acteurs des colis.
https://www.ecommerce-nation.fr/colis-reutilisable-enjeu-ecommerce/
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2 soutiens
Réparer plutôt que Jeter. Repair Café : une solution locale pour faire réparer vos objets !
3000 Repair Cafés dans le monde et plus de 600 000 réparations d'objects annuel
C'est chiffres sont fous mais la réparation est un vrai sujet de fond et une solution d'action pour avoir un impact positif !

C’est quoi un Repair Café ?
Réparer ensemble, c’est l’idée des Repair Cafés dont l’entrée est ouverte à tous. Outils et matériel sont disponibles à l’endroit où est organisé le Repair Café, pour faire toutes les réparations possibles et imaginables. Vêtements, meubles, appareils électriques, bicyclettes, vaisselle, objets utiles, jouets, et autres. D’autre part sont présents dans le Repair Café des experts bénévoles, qui ont une connaissance et une compétence de la réparation dans toutes sortes de domaines.

On y apporte des objets en mauvais état qu’on a chez soi. Et on se met à l’ouvrage avec les gens du métier. Il y a toujours quelque chose à apprendre au Repair Café. Ceux qui n’ont rien à réparer prennent un café ou un thé, ou aident à réparer un objet appartenant à un autre. On peut aussi toujours y trouver des idées à la table de lecture qui propose des ouvrages sur la réparation et le bricolage.

Il y a des centaines de Repair Cafés partout en Belgique, en France et en Suisse. Vous pouvez visiter un Repair Café près de chez vous, ou pourquoi pas, en organiser un vous-même !

Venez découvrir le repair café proche de chez vous, il y a certainement un évènement dans les semaines qui arrivent :
https://www.repaircafe.org/fr/a-propos/

D'autres très belle solutions pour faire réparer son matériel électronique ou d'électroménager :
https://www.youtube.com/watch?v=ChjFiCci374
https://www.youtube.com/watch?v=ChjFiCci374
https://informatruck.fr
https://www.kiwiiz.fr/service-particuliers/depanneur-reparateur/reparation/propose/
https://www.facebook.com/julienreparetout/

La même chose existe pour les vélos, l'habillement etc...
https://www.gonzagueetsesvelos.fr/accueil



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2 soutiens
Le bâtiment s'engage vraiment dans la décarbonation
Fin Avril 2024, les fédérations :
Evolis (organisation professionnelle consacrée aux biens d'équipements d'origine mécanique),
DLR (Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs de matériels de construction et de manutention),
FFB (Fédération française du bâtiment),
FNTP (Fédération nationale des travaux publics)
et le Seimat (Syndicat des entreprises internationales des matériels et de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage).

« Les équipements de construction, responsables d'environ 20 % des émissions de gaz à effet de serre d'un chantier, ont un rôle significatif à jouer pour réussir le challenge de la décarbonation », soulignent les fédérations, dans un communiqué commun.

prennent des engagements pour décarbonner (la construction est responsable de 20% des émissions de gaz à effet de serre d'un chantier) en :
. explorant activement les alternatives aux motorisations thermiques
. démocratiser les dispositifs stop/start sur les machines
. démocratiser les dispositifs de récupération d'énergie
. promouvoir l'éco-conduite de leurs salariés
. former les collaborateurs à la transition écologique
. mécaniser le recyclage

Enfin me direz-vous ! Bravo pour cette avancée ! 


Pour en savoir plus : 
https://www.actu-environnement.com/ae/news/intermat-ffb-evolis-dlr-fntp-seimat-manifeste-decarbonation-equipements-construction-43966.php4
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2 soutiens
Une nouvelle Gigafactory de Batterie dans l'Est de la France
Après la Gigafactory de Batterie dans le Nord de la France, l'Est réplique également avec une nouvelle usine dans les prochains mois.
Dans un contexte de transformation profonde de la filière automobile, Blue Solutions est aujourd’hui la seule entreprise à fabriquer des batteries solides Lithium-Métal à l’échelle industrielle. Elle s’appuiera sur des ruptures technologiques majeures pour ses batteries solides de nouvelle génération (GEN4) qui offriront 40% d’autonomie supplémentaire par rapport aux capacités maximales actuellement projetées sur les batteries lithium-ion. Elles permettront à la France et à l’Europe de répondre aux attentes du marché automobile en termes de performance, de sécurité, de coût et de respect de l’environnement. Des activités de R&D avancées et une première ligne pilote seront conduites en Bretagne, sur le territoire de Quimper Bretagne Occidentale, également soutien du projet.

Blue Solutions vise la création de près de 1 500 emplois d’ici 2032, avec un investissement global de plus de 2,2 milliards d’euros. A terme, la gigafactory de Blue Solutions pourra représenter une capacité annuelle de production de 25 GWh, soit l’équivalent de 250 000 véhicules/an, au bénéfice des consommateurs français et européens.

Dans le cadre de l’objectif France 2030 de produire près de 2 millions de véhicules électrifiés par an en France et de la Stratégie nationale sur les batteries, le développement d’une offre française des batteries, innovante et compétitive est primordiale. La filière industrielle est particulièrement soutenue, et de manière inédite, par le crédit d’impôt investissement industries vertes (C3IV). 

La France s'affirme donc comme un des futurs leaders de la batterie en Europe et dans le monde

source : 
journaldelindustrie.fr
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La moitié des grandes entreprises ne seraient plus rentables si elles payaient pour leurs émissions carbone
Stellantis, Renault, AirLiquide, TotalEnergies… La plupart des grandes entreprises ne seraient plus rentables si elles devaient payer le coût réel de leurs émissions de CO2. C’est ce que révèle l’indice Vérité 40, qui analyse le score carbone des grandes entreprises françaises.

Et si les grandes entreprises françaises payaient le vrai prix de leurs émissions de CO2 ? C’est l’idée clé derrière Vérité 40. Depuis 2021, cet indice proposé par la société de conseil financier Axylia, calcule l’Ebitda (le bénéfice d’une société avant que n’en soient soustraits les intérêts, les impôts sur les sociétés, les dotations aux amortissements et les provisions sur immobilisations) ajusté des émissions carbone des grandes entreprises françaises.

Une manière alternative de mesurer la soutenabilité climatique des entreprises françaises, en comparant leur performance financière à leurs émissions de CO2. Résultat : la moitié des entreprises du CAC40 serait en déficit si elles devaient payer leur facture carbone. Stellantis, TotalEnergies, Airbus ou encore Renault et Michelin seraient par exemple incapables de payer le coût réel de leurs émissions, qui dépasserait ainsi largement leurs bénéfices.

Vérité 40 regroupe ainsi les entreprises qui s’en sortent le mieux dans les différents secteurs de l’économie française du point de vue carbone. Parmi les bons élèves, on retrouve notamment Essilor, Vivendi, Bureau Veritas, le producteur d’énergie solaire Neoen, ou encore des grandes entreprises comme Bouygues, Danone, ou Schneider Electric. Mais parmi les grands groupes français, notamment dans les grands secteurs industriels ou du transport, encore très dépendants des énergies fossiles, certains sont au contraire à la peine. Airbus par exemple a une facture carbone équivalente à 817 % de ses bénéfices, ce chiffre est de 292 % pour Stellantis, 245 % pour ArcelorMittal… Plusieurs grands acteurs français, notamment dans le secteur financier, sont par ailleurs exclus des calculs de l’indice, car ils ne fournissent pas les données complètes de leurs émissions de CO2. C’est le cas notamment de BNPParibas, Crédit Agricole et Société Générale, qui manquent de transparence sur les émissions liées à leurs investissements, ou de Publicis, qui ne dévoile pas l’impact carbone des produits promus par la publicité.

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Bornes de recharge électrique financées par les collectivités : une bonne chose ?
Pour convaincre les Français de passer à la voiture électrique, les collectivités ont investi à perte dans le maillage du territoire en points de recharge. A présent que les acteurs privés se sont emparés du sujet, elles s’interrogent sur la suite.

Fin 2023, la France a franchi le cap ­symbolique du million de ­véhicules électriques en circulation. Depuis, le rythme d’immatriculations ne cesse d’accélérer. Cette fois, l’épopée électrique est bel et bien lancée. Ces dix dernières années, les collectivités y ont largement participé en couvrant le territoire de dizaines de milliers de points de recharge ouverts au public.

« Au début, il n’y avait même pas d’usagers, mais il fallait rassurer les automobilistes qui s’inquiétaient du manque d’autonomie de ces ­véhicules », se souvient Jean-Jacques ­Cadet, directeur général des services (DGS) de Territoire d’énergie Drôme (1). « Les gens attendaient nos bornes pour oser y aller, même si, aujourd’hui, on sait que 90 % des recharges ont lieu au domicile », renchérit Jean-Louis ­Camus, président du syndicat départemental d’énergies de l’Indre (2).

Encouragés par les appuis financiers de l’Ademe, de l’Europe ou des certificats d’économies d’énergie (programme Advenir), les syndicats d’énergie se sont lancés, parfois en tâtonnant, dans l’aventure. « Il y a eu toutes sortes d’initiatives car personne ne savait vraiment où mettre les bornes, quel type choisir, ni comment tarifer tout ceci, se remémore Jean-Marc Proust, président du cabinet GP Conseil. Dans certains départements, il suffisait qu’un riverain demande la borne pour l’avoir. D’autres ont offert le service afin d’encourager le passage à l’acte. » La plupart ont démarré le service en régie publique avant, souvent, de confier l’exploitation à des prestataires, devant la ­complexité à gérer des infrastructures communicantes.

Les acteurs privés arrivent

Désormais, tout a changé. Environ 1,7 million de points de charge privés sont déployés à domicile ou dans les entreprises, et plus de 127 000 sont ouverts au public (voir les infographies). Sur ce dernier segment, les collectivités qui ont d’abord porté seules le déploiement assistent maintenant à l’arri­vée de nombreux acteurs privés. « Ils installent des bornes, soit par contrainte réglementaire – l’obligation d’équiper les parkings, par exemple –, soit parce qu’ils y voient une activité économique à développer », indique Jean-Marc Proust. L’occasion pour les acteurs publics de faire le point sur leurs initiatives.

En Côte-d’Or, où le ­syndicat mixte d’énergie ­Siceco (3) a achevé, en 2020, l’implantation d’une quarantaine de bornes, son DGS, Jean-Michel ­Jeannin, s’en tient à la loi : « Le code général des collectivités précise que les collectivités interviennent à condition de constater une carence du privé. »

Aujourd’hui, si le syndicat envisage la pose de quelques bornes supplémentaires, c’est uniquement dans le but de dynamiser la fréquentation touristique de certains endroits. Pour le reste, « le privé saura aller là où il y a de la demande », assure le DGS. Le syndicat est en train de passer en revue toutes les options ­concernant son parc actuel, déficitaire de près de 100 000 euros par an. « On réfléchit pour savoir si on continue d’exploi­ter ou si on le cède au privé », dévoile-t-il.


Source : enviropro-salon.com




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Une solution ingénieuse pour transformer la chaleur perdue en électricité
L'épuisement des ressources énergétiques constitue une menace majeure pour le développement de la société humaine. Une quantité considérable de chaleur de basse qualité (CBQ), généralement inférieure à 100 °C, est actuellement gaspillée. Pourtant, si elle est exploitée efficacement, elle pourrait améliorer significativement l’efficacité globale de l’utilisation de l’énergie et réduire les émissions de dioxyde de carbone.

Convertir la chaleur de basse qualité en électricité

Un groupe de recherche dirigé par Junyong Hu de l’Université de Technologie de Taiyuan s’est concentré sur le développement d’un nouveau type de moteur thermique à électrodialyse inverse (REDHE). Ce dispositif peut convertir efficacement la CBQ en électricité et a émergé comme une technologie prometteuse ces dernières années.

Le REDHE intègre la distillation par diffusion à écartement d’hélium (HGDD) en tant qu’unité de séparation thermique (TS). L’équipe a utilisé un modèle mathématique validé pour analyser l’impact de divers paramètres opérationnels et structurels sur les performances du REDHE.
Optimisation des performances du REDHE

Il a été constaté que le maintien d’une molalité modérée du flux froid, l’augmentation des températures d’entrée des flux chaud et froid, l’allongement des canaux pour les flux chaud et froid, et la minimisation de l’épaisseur des écarts d’hélium peuvent améliorer significativement les performances du REDHE.

En particulier, le REDHE a atteint une efficacité maximale de conversion énergétique de 2,96 % en réduisant l’épaisseur des écarts d’hélium à 3 mm et en allongeant la longueur des canaux de flux à 5 m.

Implications environnementales et énergétiques

Cette recherche est significative car elle propose une nouvelle approche technologique pour l’utilisation efficace de la chaleur de basse qualité. Le développement du REDHE novateur contribue non seulement à atténuer les pénuries d’énergie, mais aussi à réduire les émissions de carbone.

En offrant des avantages pratiques substantiels et des bénéfices environnementaux, cette technologie favorise le développement durable de l’énergie. Les résultats obtenus par l’équipe de Junyong Hu ouvrent la voie à des applications concrètes et à une meilleure gestion des ressources énergétiques.

Source : https://enviropro-salon.com/fr-fr/toulouse/
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Le Label Eco-défis bat son plein !
Le label éco-défis est déployé par la CMA Grand Est et la CCI Grand Est depuis 2019 dans le cadre de leur Programme Régional de Développement Durable (PRDD), en partenariat avec les collectivités locales du Grand Est. Cette opération vise à engager les artisans et artisans-commerçants dans des actions en faveur du Développement Durable mais également à leur faire gagner en attractivité. Cette action est rendue possible grâce au soutien des partenaires du PRDD.


Prendre part aux éco-défis est une démarche volontaire et gratuite qui permet aux entreprises d’agir pour le développement durable, de mettre en avant leur engagement auprès de leurs clients mais aussi de prendre en compte et d’anticiper les nouvelles réglementations.


Les entreprises souhaitant être labellisées sont accompagnées par leur conseiller tout au long du processus :


Accompagnement : l’entreprise prend contact avec son conseiller pour faire le point sur ses pratiques et besoins et choisit de réaliser au moins 4 défis parmi les 8 thématiques : déchets ; eaux et fluides ; écoproduits ; énergie ; transport ; accessibilité ; sensibilisation ; qualité de l’air intérieur. Avec le soutien de son conseiller, l’entreprise bénéficie d’un accompagnement personnalisé technique pour atteindre ses objectifs.


Visibilité : une fois les défis réalisés, l’entreprise est officiellement labellisée éco-défis et obtient un kit de communication gratuit pour mettre en avant l’obtention du label auprès du grand public.


En 2024, une quinzaine de collectivités du Grand Est ont initié ou reconduit leurs conventions éco-défis ! Le Grand Reims, le Grand Verdun, le Grand Longwy, les Crêtes Pré-ardennaises, la Communauté d'Agglomération de Chaumont ou encore Troyes Champagne Métropole en font partie !


Avec une grande part du label dédiée à la prévention et la gestion des déchets, éco-défis permet aux artisans d'agir de manière concrète et de donner de la visibilité à leurs actions en faveur de l'économie circulaire avec le soutien expert des conseillers environnement de la CMA Grand Est. Avec des sous-catégories de défis tels que les déchets dangereux, le tri sélectif, l'arrêt du gaspillage alimentaire et non alimentaire, les emballages fournisseurs et clients, la réparation et le réemploi, les points de collecte, le traitement des déchets organiques, la compaction ou le suivi de la production des déchets, les différents corps de métiers de l'artisanat peuvent agir pour la prévention et la gestion des déchets pour le bien de leur activité et de l'environnement.


Si la thématique des déchets n'est pas adaptée à la situation de l'entreprise, celle des services durables est une alternative pour obtenir le label avec une possibilité de mise en place d'éco-produits et d'éco-services au sein de son activité.

☘️ 10 entreprises labellisées dans le Grand Longwy !


Félicitations à L'atelier du délice, Brasserie Martin - La Zaubette, IdeEau Grand Est, Catherine Kelsen Pâtisserie, Maison Aimard, L'hermine flamboyante, Menuiserie BARA, Echoppe Service +, Fromages et dépendance et à Plus près des étoiles !


☘️ 7 entreprises labellisées pour la Communauté d'Agglomération de Chaumont !


Félicitations à L’épicerie de Déborah, Les bougies d’Élo, Petit Nuage, Julien Bozzolini, Naturospa Institut, La Crêpe s’Affiche et à L’Auberge du Viaduc !


☘️ 10 entreprises labellisées dans le Grand Verdun !


Félicitations à Varnerot, L’Atelier Cycle, AGM Imprimerie, Boucherie Wallerich – Le bœuf tricolore, Bouche Bée, Garage Preud’Homme, Diminu’tif, L’Epi d’Or, Le salon de Cyrielle et à Terra Chocolata !


☘️ 8 entreprises labellisées pour le Pôle D'Équilibre Territorial Et Rural d'Othe-Armance !


Félicitations à La Nouvelle Bonneterie, Le Comptoir des Confiture, Pollen et Pépin, FaBien Gram, Au Bon Pain d’Aix-en-Othe, Au Beau Panier, La Table d’Othe et à La Bonne Othecaz !


Vous êtes artisan ou artisan-commerçant et souhaitez vous engager ?


Vous êtes une collectivité locale et souhaitez en savoir plus sur l'opération Eco-Défis ?


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Les données de production 2023 des énergies renouvelables électriques dans les Hauts-De-France
LA PRODUCTION D’ÉNERGIES RENOUVELABLES ÉLECTRIQUES DANS LES HAUTS-DE-FRANCE EST À LA HAUSSE : +31% ENTRE 2022 ET 2023.

Dans les Hauts-de-France, la production d’énergies renouvelables électriques (EnR) pour les filières éolien, solaire photovoltaïque, hydraulique et biogaz électrique, est estimée à 15 346 gigawattheures (GWh) en 2023. Une augmentation de 31% est observée entre 2022 et 2023 (11 747 GWh en 2022). En 2021, la production d’EnR électriques représente 38 % du total produit en région (hors données manquantes concernant la filière géothermie-chaleur ; celle-ci représentait moins de 1% du bilan de production totale d’EnR en 2020).


OÙ TROUVER CES DONNÉES ?

Sur la https://www.trace-hdf.fr, un outil créé par Atmo Hauts-de-France et le Cerdd

DERNIERS CHIFFRES DE PRODUCTION ÉLECTRIQUE À RETENIR POUR LES HAUTS-DE-FRANCE

 - Production de l’éolien en 2023 : 14 517 GWh

 - Production du solaire photovoltaïque en 2023 : 534 GWh

 - Production de l’hydraulique en 2023 : 14,7 GWh

 - Production électrique du biogaz valorisé en 2023 : 280 GWh (pour 96 installations)

POUR ALLER PLUS LOIN

Vous pouvez, en complément, obtenir les données des autres filières d’énergies renouvelables. 

Le détail de l’ensemble des énergies renouvelables actuellement en ligne est le suivant :

 - géothermie jusqu’en 2020, de l’échelle EPCI à régionale

 - bois et agrocarburants jusqu’en 2021, de l’échelle EPCI à régionale

 - biogaz thermique jusqu’en 2021, aux échelles départementale et régionale

 - pompes à chaleur (PAC) et biométhane injecté jusqu’en 2022, de l’échelle EPCI à régionale

 - solaire thermique jusqu’en 2022, uniquement à l’échelle régionale

 - éolien, solaire photovoltaïque, hydraulique et biogaz électrique jusqu’en 2023, de l’échelle EPCI à régionale





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Un milliard d'investissement pour une unité de production verte
La ville d'Epinal dans les Vosges devrait accueillir une des plus grandes usines de production de carburants de synthèse verts pour l'aviation avec un investissement d'un milliard d'euros d'ici 2030 par Verso Energy.

Il s'inscrit dans un plan de construction de quatre unités en France avant la fin de la décennie, avec des sites prévus à Tartas (Landes), Saillat-sur-Vienne (Haute-Vienne) et près de Rouen, a précisé M. Huard, évoquant des investissements d'un "montant comparable" aboutissant à un "total de 4 milliards d'euros".

Les carburants durables d'aviation (CDA) sont produits à partir de ressources non fossiles, contrairement au kérosène auquel ils ont vocation à se substituer en partie. A Epinal, Verso Energy prévoit de les produire par association d'hydrogène obtenu par électrolyse (eau et électricité) et de
CO2 "émis à partir de biomasse par les industriels voisins", en premier lieu le papetier Norske Skog.

Le règlement européen "ReFuelEU Aviation" de 2023 va imposer l'incorporation de CDA progressivement jusqu'à 35% en 2050 dans le carburant mis à disposition des compagnies aériennes dans les aéroports de l'UE.

La proportion initiale de 1,2% en 2030 "est petite" mais représente "déjà de grandes quantités", si bien que "la question dès 2030 n'est pas le risque de produire trop avec quatre sites mais pas assez, avec pour conséquence l'importation plutôt que la production en France", a plaidé M. Huard.



https://www.linfodurable.fr/entreprises/kerosene-vert-un-milliard-dinvestissement-en-projet-dans-les-vosges-46192
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Dunkerque : la nouvelle perle verte de la France ?
"Notre objectif est de faire d’un territoire émetteur de CO2, un territoire émetteur de solutions. Par exemple, en se positionnant comme un laboratoire de la décarbonation industrielle en France, Dunkerque attire des investisseurs comme Verkor et Prologium." indique Jean-François Montagne, vice-président de la Communauté urbaine de Dunkerque.
Les mots sont forts et démontrent l'ambition et la transformation que va connaître - et qui a déjà commencé - cette ville industrielle du nord de la France.

La contrainte majeure de notre territoire est de réduire nos émissions de CO2, car il concentre à lui seul 20 % des émissions de CO2 d’origine industrielle française. Le choix a été fait de développer une stratégie de décarbonation des plus ambitieuses qui résulte en de nombreuses opportunités. C’est un plan d’action à 360° qui est décliné par la Communauté urbaine de Dunkerque, par les industriels, et le Grand Port maritime de Dunkerque pour encourager nos acteurs locaux.
De plus, le projet de reconquête du Môle 2, verra l'ouverture en septembre 2024 d'un parc d'activités et de formation dédié à la transition énergétique et à l'innovation locale pour permettre aux entreprises, start-ups et étudiants-ingénieurs d'expérimenter et d'innover. Le dispositif Eco-Gagnant offre également, par le biais de stratégies "gagnant-gagnant", plus de pouvoir d’achat aux habitants du territoire tout en protégeant notre environnement.

Dunkerque ne deviendra pas le poumon vert de la France, il y contribuera fortement c'est certain. Les enjeux sont à la fois écologiques et également économiques pour la région.

Dunkerque avec sa communauté urbaine berceau historique des Assises Européennes de la Transition Énergétique, accueilleront la 25e édition du 10 au 12 septembre 2024 au Kursaal de Dunkerque. Pendant ces trois jours, les assises mettront en lumière les défis actuels et les solutions innovantes pour les surmonter, à travers plus de 120 ateliers, 12 plénières, 7 conférences et 10 visites de terrain.

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Hauts-de-France : Les Énergies Renouvelables Dépassent les 30 % en 2023
Le bilan électrique 2023 des Hauts-de-France, publié par RTE le 15 juillet 2024, révèle une nette progression dans la production d’électricité décarbonée, notamment grâce aux énergies renouvelables. Pour la première fois, la production d’énergies renouvelables a dépassé 30 % dans la région, atteignant 30,2 %, tandis que le nucléaire continue de représenter 54,8 % du mix énergétique régional.

Cette croissance est portée par une augmentation de 8 % du parc de production renouvelable, grâce au développement de l’éolien terrestre (+32,2 %) et du solaire (+15,2 %). Le parc éolien représente désormais 41,3 % des capacités de production installées dans la région, qui a vu son parc de production renouvelable croître de 40 % depuis 2019.

En parallèle, la consommation d’électricité dans les Hauts-de-France continue de baisser, enregistrant une diminution de 2,3 % par rapport à 2022, une tendance similaire à la baisse nationale de 3,2 %. Les secteurs industriels de la région, notamment la sidérurgie et les industries agroalimentaires, ont également vu leur consommation diminuer respectivement de 6,6 % et 10,5 %.

La région Hauts-de-France demeure la troisième région la plus consommatrice d’électricité en France, mais aussi la plus grande consommatrice industrielle, avec 21,5 % de la consommation industrielle nationale.

RTE prévoit d’investir 1,5 milliard d’euros d’ici 2028 pour accompagner la transition énergétique régionale, en soutenant des projets tels que les gigafactories de batteries et les sites de production d’hydrogène vert. Cet investissement permettra la création de 50 emplois en CDI et 30 alternances en 2024, renforçant ainsi l’économie locale. En 2023, RTE a collaboré avec 450 PME locales, investissant 35 millions d’euros pour soutenir l’économie régionale.

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Draisy : Une Révolution Écologique pour les Petites Lignes Rurales
Le 25 septembre, la SNCF et l’industriel Lohr ont présenté officiellement Draisy, un nouveau train électrique fonctionnant entièrement sur batteries, lors du congrès des Régions de France à Strasbourg. Ce projet ambitieux vise à revitaliser les petites lignes ferroviaires rurales en proposant une solution écologique et économique, adaptée aux lignes non électrifiées qui sont souvent laissées à l’abandon.

Draisy, un wagon léger pouvant accueillir jusqu’à 80 passagers, dont 30 assis, est conçu pour rouler à une vitesse maximale de 100 km/h grâce à ses batteries électriques. Ces batteries offrent une autonomie d’une heure et se rechargent en seulement deux minutes lors des arrêts en gare, rendant le train opérationnel de manière continue tout en garantissant une empreinte écologique réduite. Pesant 20 tonnes, Draisy a été pensé pour limiter les coûts d’infrastructures en évitant l’installation de caténaires coûteuses.

Marie-José Navarre, vice-présidente de Lohr, a souligné que l’un des principaux avantages de Draisy réside dans sa simplicité d'utilisation et sa capacité à éviter de réinvestir massivement dans des infrastructures complexes. Cette innovation permet aux petites lignes, souvent menacées de fermeture, de continuer à opérer sans nécessiter d'importants investissements supplémentaires.

Le président de la région Grand Est, Franck Leroy, a exprimé un fort intérêt pour Draisy, affirmant que ce projet répond aux attentes des habitants qui souhaitent voir leurs trains locaux circuler à nouveau. Leroy a souligné que la réouverture des petites lignes rurales est cruciale pour les territoires moins desservis par les grandes lignes ferroviaires.

Draisy s'inscrit également dans une dynamique plus large de modernisation et de décarbonation du transport ferroviaire. Lauréat de l’Appel à Manifestation d'Intérêt "Digitalisation et Décarbonation du Transport Ferroviaire", le projet fait partie du Programme d'investissements d'avenir (PIA4) visant à concevoir des solutions durables pour le secteur. En collaboration avec plusieurs partenaires, dont GCK Battery et Stations-e, la SNCF et Lohr ont développé un modèle de train qui réduit non seulement les coûts d'exploitation et de maintenance de 60 % par rapport aux trains actuels, mais qui est aussi 100 % compatible avec les exigences environnementales.

Léger et frugal, Draisy est adapté aux "lignes de desserte fine" de la France, représentant environ 9 000 km de voies non électrifiées. Le train est équipé d’essieux orientables, ce qui réduit l’usure des rails et prolonge la durée de vie des infrastructures ferroviaires. L’ensemble de ces innovations permet d'envisager une réduction significative des coûts pour l’avenir, tout en participant activement à la transition énergétique.

Draisy marque une étape importante dans l'avenir du transport ferroviaire rural en France et à l'international. En combinant simplicité, durabilité et économies, Draisy propose une solution moderne aux défis des petites lignes, garantissant ainsi leur pérennité dans les années à venir.

Les grandes étapes :
. Circuler sur une ligne prototype en Moselle en 202
. Etre prêt à délivrer le marché français en 2028.
Puis à l’international à l’issue d’études sur l’infrastructure des différentes lignes et selon la réglementation de chaque pays.
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Brest et Eolink : un projet d’Éolienne Flottante pour la transition énergétique en 2025
La ville de Brest devient un acteur majeur dans le domaine des énergies renouvelables grâce au projet d’éolienne flottante mené par Eolink, une entreprise locale. Ce projet d’envergure, soutenu par une dizaine d’entreprises partenaires, vise à développer une éolienne flottante au large du Croisic, en contribuant à la transition énergétique et à la réindustrialisation de la région.

Eolink, fondée en 2016, se spécialise dans la conception d’éoliennes flottantes intégrées. Leur projet actuel repose sur une structure innovante de forme carrée, mesurant 52 mètres de côté, surmontée d’une superstructure pyramidale culminant à 150 mètres. Une fois achevée, cette éolienne sera mise à l’eau dans le port de Brest avant d’être remorquée vers son site d’essais.

Ce projet, baptisé "France Atlantique", prévoit la production d’environ 14 GWh par an, soit de quoi alimenter 6 500 personnes en électricité. Il s’agit de la plus grande éolienne flottante sur la côte atlantique française. En s’appuyant sur les infrastructures du port de Brest, Eolink espère faire émerger une véritable filière industrielle dédiée à l’éolien flottant en mer.

Le chantier de l’éolienne, prévu pour débuter au printemps, accueillera jusqu’à 80 personnes. Des blocs en acier préfabriqués seront utilisés pour l’assemblage de la structure, renforçant ainsi la dynamique industrielle locale. Ce projet bénéficie également du soutien de l’Ademe dans le cadre du plan France 2030, qui vise à établir 50 parcs éoliens en mer d’ici 2050, dont un premier parc commercial flottant au sud de la Bretagne en 2030.

Marc Guyot, président-fondateur d’Eolink, souligne l’importance de ce projet pour l’économie locale et le développement de l’industrie éolienne en mer. « Les ambitions d’Eolink sur le port de Brest sont fortes, et ce projet de 5 MW constitue un premier pas concret vers une industrie durable sur la façade Atlantique. »

Christophe Chabert, président du Directoire de BrestPort, partage cet enthousiasme. Il explique que le projet permet de tester les équipements du port en vue du déploiement futur de parcs commerciaux, tout en soutenant les PME locales impliquées dans la filière.

Ce projet d’éolienne flottante d’Eolink à Brest représente un tournant pour les énergies renouvelables en France. En combinant innovation technologique et collaboration industrielle, il témoigne de l’engagement de la région dans la transition énergétique, tout en créant des emplois et en renforçant le tissu industriel local. La mise en service est prévue pour le printemps 2025, marquant une nouvelle étape dans le développement de l’éolien en mer flottant.

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Train + Vélo : Un Nouveau Service de Mobilité Durable dans les Gares du Grand Est
Dans le cadre de son ambitieux plan vélo 2022-2028, la Région Grand Est prépare le lancement d’un nouveau service de location de vélos à assistance électrique (VAE) en libre-service dans 52 gares régionales. Cette initiative, qui s’inscrit dans une démarche de développement durable, vise à faciliter la combinaison train + vélo pour encourager une mobilité plus verte et efficace, notamment pour les derniers kilomètres des trajets quotidiens.

Ce projet, dont la mise en service est prévue pour le printemps 2025, repose sur un modèle de « boucle fermée ». Les usagers pourront louer un vélo directement depuis les gares concernées et devront le restituer à la même station à la fin de leur utilisation, ce qui simplifie le processus. L’objectif est de permettre une utilisation à la journée, rendant le service à la fois pratique et flexible pour les trajets domicile-travail ou loisirs. Ce système sera intégré au calculateur d’itinéraires Fluo Grand Est, facilitant la planification des déplacements multimodaux.

Le service est conçu pour répondre aux besoins des habitants en matière de mobilité durable, en offrant une alternative aux trajets exclusivement en voiture. En début 2024, la plateforme participative « Ma Région Demain » a lancé une vaste consultation citoyenne, permettant aux résidents de donner leur avis sur ce futur service et de proposer des localisations pour son déploiement. Grâce à cette participation active des citoyens, 52 gares ont été sélectionnées pour la première phase de déploiement, incluant des villes comme Nancy, Metz et Thionville.

Le principe de ce service rappelle celui des systèmes de vélos en libre-service déjà en place dans certaines villes comme Nancy (Vélostan’lib) et Metz (Vélomet’). Cependant, une différence majeure réside dans le fonctionnement en boucle fermée des « Vélo Fluo », où les vélos doivent être retournés à la station d’origine, contrairement aux systèmes de « borne à borne » où les vélos peuvent être déposés à n’importe quelle borne disponible.

L’appel d’offres pour désigner le prestataire chargé de fournir le matériel et d’assurer l’exploitation du service est actuellement en cours. Le prestataire retenu devra garantir la qualité et la durabilité du matériel, ainsi que la maintenance des vélos pour assurer un service fiable. La Région espère ainsi proposer une solution de mobilité simple et abordable qui répond aux attentes des usagers tout en participant à la réduction de l'empreinte carbone de la région.

À terme, la Région Grand Est envisage d’étendre ce service à d’autres gares du territoire, dans l’optique de couvrir un maximum de zones rurales et périurbaines. Ce dispositif s’inscrit dans le cadre du plan vélo de la région, dont l’objectif est d’atteindre une part modale de 12 % pour le vélo d’ici 2030. La Région mise ainsi sur l’intermodalité pour encourager des pratiques de mobilité durable, en particulier en zone rurale où les transports en commun seuls ne suffisent pas toujours à couvrir les besoins des usagers.

Avec ce service innovant, la Région Grand Est franchit une nouvelle étape vers une mobilité plus verte, offrant à ses habitants une alternative écologique et économique pour leurs trajets du quotidien. En alliant train et vélo, cette initiative renforce la connexion entre les transports en commun et la mobilité douce, facilitant ainsi les déplacements dans tout le territoire.

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Nouvelle méthode de Calcul Bilan Carbone
Pour tous les acteurs concernés par la lutte contre le changement climatique, qu’il s’agisse de responsables carbone, de chargés de mission climat ou RSE, ou encore de chefs d’entreprise, une grande nouvelle vient d’être annoncée : la Méthode Bilan Carbone® 2025 est désormais disponible ! Cette évolution marque un tournant dans la décarbonation des organisations, alors que l'urgence de l'action climatique se fait de plus en plus pressante.

Depuis sa création en 2004, la méthode Bilan Carbone® a toujours été un outil incontournable pour mesurer et piloter les émissions de gaz à effet de serre (GES). Avec plus de 20 000 experts formés au fil des ans, cette méthode est devenue une référence dans le domaine de la comptabilité carbone. Aujourd’hui, pour célébrer 20 ans d’innovation et de progrès, l’Association Bilan Carbone (ABC) lance une version revue et améliorée, la Méthode Bilan Carbone® 2025.

L’une des grandes forces de cette nouvelle version est sa modularité. Développée grâce à deux années de collaboration entre de nombreux experts, la Méthode Bilan Carbone® 2025 s’adapte aux spécificités de chaque organisation, permettant ainsi une analyse plus fine et plus stratégique de leurs émissions. Cette flexibilité est essentielle pour permettre aux entreprises et aux collectivités d’élaborer un plan de transition bas carbone robuste et personnalisé.

Un guide pour une décarbonation réussie

La Méthode Bilan Carbone® 2025 ne se contente pas de mesurer les émissions de GES ; elle offre également une approche complète pour intégrer la transition écologique dans la stratégie des organisations. Les nouvelles pratiques proposées permettent d’améliorer en continu la comptabilité carbone tout en développant un reporting efficace. Cette version actualisée est pensée pour guider les utilisateurs dans toutes les étapes de la décarbonation, de l’évaluation initiale des émissions à la mise en place des meilleures pratiques de réduction.

Vers un avenir plus durable

Avec la publication de cette nouvelle version, l’ABC réaffirme son engagement envers la transition écologique des organisations, en offrant un outil à la pointe de la comptabilité carbone. Face à l’inégalité de qualité des démarches de décarbonation à l’échelle mondiale, la Méthode Bilan Carbone® 2025 se positionne comme un guide d’excellence, permettant aux organisations de s’engager durablement sur la voie de la neutralité carbone.

Pour découvrir les nouveautés de cette méthode, nous vous invitons à consulter le lien suivant : Méthode Bilan Carbone® 2025. De plus, un replay de la conférence “Prise de température” est disponible pour explorer plus en profondeur cette nouvelle approche : Voir le replay.

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Hydrogène Naturel et Hélium : Une Alliance pour des Gaz Durables en Circuit Court
L’entreprise messine 45-8 Energy, spécialisée dans l’exploration et la production de gaz industriels écoresponsables, tels que l’hydrogène naturel et l’hélium, a franchi une nouvelle étape en s’associant avec la société britannique H2Au. Ensemble, ces deux acteurs du secteur lancent une alliance stratégique aux États-Unis avec deux projets phares : Humboldt et Fayette. Cette collaboration a pour objectif de développer la filière émergente de l’hydrogène naturel et de l’hélium sur le sol américain.

Deux ans après avoir formé cette alliance pour accélérer le développement de ces ressources aux États-Unis, 45-8 Energy et H2Au matérialisent leur vision en lançant ces deux projets d’exploration. Le projet Humboldt cible la crête de Nemaha, au Kansas, une région réputée pour son potentiel en hydrogène et en hélium. Les terrains sécurisés par l’Alliance sont situés près de la faille "Humboldt", où les conditions géologiques sont propices à une production efficace de ces deux gaz. Ces parcelles sont situées à moins de 10 kilomètres du puits historique Sue Duroche-2, célèbre pour ses indices élevés d’hydrogène naturel.

Quant au projet Fayette, il repose sur une étude géologique approfondie menée par l'Alliance. Ce site présente un potentiel prometteur pour la production d’hydrogène naturel, grâce au phénomène de serpentinisation, un processus naturel par lequel des roches riches en fer réagissent avec de l’eau infiltrée, libérant des molécules d’hydrogène. Ce procédé pourrait jouer un rôle clé dans l’exploitation durable de l’hydrogène naturel.

Dans ces deux projets, H2Au sera l’opérateur principal, tandis que 45-8 Energy participera à hauteur de 40 % dans le projet Humboldt et de 30 % dans le projet Fayette. Nicolas Pelissier, co-fondateur de 45-8 Energy, a exprimé sa confiance dans cette alliance : « Il s’agit d’une alliance entre deux pionniers possédant une expérience unique dans la filière de l’hydrogène naturel. Avec nos technologies propriétaires, nos bases de données et nos équipes expérimentées, je suis convaincu que nous sommes prêts à nous développer rapidement aux États-Unis. »

Pour soutenir ces deux projets, une levée de fonds est envisagée. L’Alliance espère obtenir les financements nécessaires pour faire avancer Humboldt et Fayette, tout en restant alignée sur les enjeux environnementaux. En effet, les co-fondateurs de 45-8 Energy ont une vision claire : développer des solutions écoresponsables pour répondre aux défis environnementaux liés à la production et à la consommation de gaz industriels.

Les constats sur lesquels repose cette démarche sont alarmants. Actuellement, 100 % de l’hélium consommé en Europe de l’Ouest est importé des États-Unis, du Qatar et de l’Algérie, engendrant des coûts énergétiques élevés. De plus, 95 % de l’hydrogène consommé dans le monde provient du vaporeformage d’hydrocarbures et de charbon, un processus qui émet entre 10 et 12 tonnes de CO₂ pour chaque tonne d’hydrogène produite. Ces émissions non gérées contribuent directement aux gaz à effet de serre.

C’est dans ce contexte que 45-8 Energy a été fondée en 2017 par cinq associés désireux de mettre leurs compétences géologiques au service d’une exploration écoresponsable. Leur ambition : développer la production de deux gaz stratégiques, l’hydrogène naturel et l’hélium, tout en valorisant ces ressources dans un circuit court. Leur approche pionnière est unique en Europe et vise à réduire l’empreinte carbone de ces gaz industriels tout en augmentant leur accessibilité.

Avec Humboldt et Fayette, 45-8 Energy et H2Au ouvrent une nouvelle page dans la production de gaz durables, renforçant ainsi leur position en tant que leaders de cette filière émergente.

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Autoconsommation d’Énergie : Six Entreprises Bretonnes misent sur leur propre boucle écologique
Près de Vitré (Ille-et-Vilaine), six entreprises s’associent pour créer une boucle d’autoconsommation d’énergie, un projet innovant soutenu par l’agglomération locale. Cette initiative, qui repose sur l’installation de panneaux photovoltaïques, permettra à ces entreprises de produire leur propre électricité, répondant ainsi à une part importante de leurs besoins énergétiques tout en stabilisant les coûts.

Motivées par la volatilité des prix de l’énergie observée en 2021 et 2022, les entreprises AMI-API, Design Parquet, Geldelis, Cielectronics, Greenpower Technologie et OKWind ont décidé de prendre en main leur production énergétique. Guy Crozet, dirigeant d’AMI et API, explique que cette démarche a pour objectif de sécuriser les coûts de l’énergie et de renforcer leur indépendance énergétique.

La boucle d’autoconsommation collective permettra aux six entreprises d’utiliser l’électricité produite par des panneaux solaires installés sur deux hectares de terrain mis à disposition par Vitré communauté. L’électricité produite en surplus durant le week-end sera utilisée pour alimenter les piscines des communes voisines de La Guerche-de-Bretagne et d’Argentré-du-Plessis, renforçant ainsi l’impact écologique du projet.

Une production de 1,5 gigawattheure par an

Avec un investissement initial de 1,2 million d’euros, la production annuelle prévue est de 1,5 gigawattheure. Cela couvrira entre 25 et 30 % des besoins énergétiques des six entreprises, avec l’ambition de porter ce chiffre à 70 % à terme. Louis Maurice, PDG d’OKWind, met en avant la capacité des entreprises à mutualiser leurs efforts pour obtenir une autonomie énergétique accrue. « Nous sommes capables de mutualiser et de dépasser les problématiques de stockage », précise-t-il.

L’utilisation du réseau électrique existant pour distribuer la production est un autre point clé du projet. Selon David Richard, adjoint à la direction territoriale d’Ille-et-Vilaine d’Enedis, cette flexibilité permet d’optimiser l’usage de l’énergie produite : ce qui n’est pas consommé par une entreprise peut être utilisé par une autre.

Un modèle écologique et réplicable

Vitré communauté, co-actionnaire de la société Montigné Énergies créée pour gérer cette boucle d’autoconsommation, a joué un rôle central dans la faisabilité de ce projet. Outre la mise à disposition du foncier, l’agglomération a également investi dans la requalification de la zone industrielle du Haut-Montigné. Teddy Régnier, président de Vitré communauté, voit dans ce projet un « exemple d’écologie concrète ». Il estime que cette initiative, qui intègre la gestion de l’eau et de l’énergie, pourrait servir de modèle pour d’autres zones d’activités.

Le projet pourrait même s’étendre à d’autres entreprises de la zone industrielle, avec des possibilités de mutualisation supplémentaires dans des domaines tels que la gestion de la chaleur ou des déchets. « C’est un thème qui en appelle d’autres : chaleur, déchets, entretien, maintenance… », ajoute Guy Crozet, qui envisage de nouvelles collaborations entre voisins industriels.

La mise en service de cette boucle d’autoconsommation est prévue pour l’été 2025. Ce projet s’inscrit pleinement dans la transition énergétique, en offrant une solution durable, économique et écologique aux entreprises de la région, tout en renforçant leur résilience face aux fluctuations des prix de l’énergie.

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Accélérateur Eau : Un Programme de Soutien pour Booster les PME du Secteur de l'Eau
Le ministère de l’Économie et des Finances, en collaboration avec la filière française de l’eau, lance la troisième édition de l’Accélérateur Eau, un programme destiné à accompagner la croissance des PME du secteur. Ce dispositif gratuit, d’une durée de 18 mois, propose un soutien complet aux entreprises volontaires pour les aider à se structurer et à se développer, tout en favorisant la création d’un réseau d’entrepreneurs dans le secteur de l’eau.

Les PME participantes bénéficieront de six journées de formation dispensées par une école de commerce, axées sur les grands aspects de la gestion d’entreprise. En plus de cela, quatre journées seront consacrées aux enjeux spécifiques à la filière de l’eau, et un parcours personnalisé d’e-learning sera disponible via la plateforme Bpifrance Université.

15 PME seront sélectionnées pour participer à ce programme. Les critères de sélection incluent un effectif d’au moins 10 salariés, un chiffre d’affaires minimum de 2 millions d’euros, et une création d’entreprise remontant à plus de trois ans.

Les candidatures pour rejoindre cette troisième promotion sont ouvertes jusqu’au 22 octobre, avec les dossiers à déposer sur la plateforme de Bpifrance. Ce programme représente une opportunité unique pour les PME du secteur de l’eau de dynamiser leur activité et de relever les défis de demain.

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Prévision d'une hausse de 30 % de l’empreinte carbone de l’audiovisuel d'ici 2030 sans actions correctives.
En octobre 2024, l'Arcom, l'Arcep et l'ADEME ont publié une étude sur l’impact environnemental des usages audiovisuels. Elle met en lumière les défis stratégiques majeurs auxquels les entreprises du secteur, notamment les géants du streaming comme Netflix et Spotify, sont confrontées. La consommation énergétique croissante due à l'augmentation du temps passé sur ces plateformes, combinée aux exigences de durabilité des consommateurs et des régulateurs, oblige ces entreprises à réévaluer leur modèle économique.

Le rapport souligne que les usages audiovisuels représentent 2,9 % de la consommation électrique en France (13 TWh) et 0,9 % de son empreinte carbone, soit 5,6 millions de tonnes équivalent CO2. Les terminaux (téléviseurs, smartphones, tablettes) jouent un rôle clé dans cette consommation énergétique. Le streaming vidéo via des réseaux mobiles consomme notamment bien plus que la télévision traditionnelle, ce qui aggrave l'empreinte écologique de ces services. Les entreprises doivent désormais s'engager dans des démarches visant à améliorer l'efficacité énergétique de leurs services et des terminaux utilisés par les consommateurs.

L’étude projette une augmentation de l'empreinte carbone du secteur audiovisuel de 30 % d'ici 2030, mais propose aussi des solutions. Parmi elles, l'amélioration de l'efficacité énergétique via des technologies d'écoconception, la réduction du poids des contenus et l'optimisation des infrastructures de streaming. Des entreprises comme YouTube ou Spotify pourraient, par exemple, réduire l'usage de fonctionnalités comme la lecture automatique et le défilement infini pour limiter le temps de visionnage passif.

Un autre axe stratégique concerne la durabilité des terminaux. Les régulateurs encouragent des pratiques comme la promotion de la longévité des appareils, et la mise en place de labels de durabilité et de programmes de recyclage. Ces initiatives pourraient aider les constructeurs de téléviseurs et smartphones à concilier durabilité et performance, tout en capitalisant sur cette transition comme un avantage concurrentiel.
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Fairphone : Vers un smartphone éthique et durable pour tous
Lancé en 2013, Fairphone a défié l’industrie des smartphones avec une vision durable et éthique, proposant un modèle de téléphone réparable et respectueux de l’environnement. Son dernier modèle, le Fairphone 5, affiche des avancées notables en termes de durabilité, avec un score de 9,3/10 sur l’Indice de Réparabilité français et 10/10 par iFixit. Cependant, avec 100 000 exemplaires vendus en 2023, l’entreprise est encore loin des géants comme Apple et Samsung, malgré un impact croissant sur l’industrie.

Raymond Van Eck, PDG de Fairphone, explique que la société a dû repenser chaque aspect de la production pour répondre à ses standards, en développant un design modulable et en assurant une chaîne d’approvisionnement éthique, notamment pour des matériaux comme le cobalt et le lithium. Fairphone est l’un des premiers à s’engager pour des conditions de travail responsables dans ses chaînes d’approvisionnement, ayant cofondé la “Fair Cobalt Alliance” pour lutter contre le travail des enfants en Afrique de l’Ouest.

Néanmoins, des défis demeurent, notamment sur le plan économique. Les coûts de production élevés dus à une faible économie d’échelle rendent difficile la concurrence avec des produits grand public abordables. En 2023, Fairphone a enregistré un résultat négatif, soulignant l’urgence de croître pour soutenir sa mission. La marque espère attirer davantage d’entreprises sensibles à la responsabilité sociale (RSE) pour augmenter ses ventes et réduire les coûts.

Fairphone influence également ses concurrents. Ses initiatives, telles que les mises à jour logicielles prolongées, ont inspiré Google à offrir 8 ans de mises à jour sur ses modèles. En parallèle, l’entreprise milite activement en faveur de normes plus strictes, aux côtés d’associations comme Halte à l’Obsolescence Programmée, afin de renforcer les exigences européennes sur la réparabilité et l’éthique des appareils numériques.

Malgré des progrès notables, Fairphone reconnaît des limites, notamment en matière de traçabilité et d’utilisation de matériaux recyclés, qui représentent environ 46 % des composants du Fairphone 5. Pour combler ces lacunes, la société appelle à des régulations plus strictes et vise une transparence accrue sur sa chaîne d’approvisionnement. Avec un financement récent de 50 millions d’euros, Fairphone entend accélérer sa croissance, tout en maintenant ses normes environnementales et sociales.

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Le défi des crédits biodiversité pour financer la protection de la nature
La COP 16, qui s'est ouverte à Cali le 21 octobre, a abordé pour la première fois les crédits biodiversité comme instrument de financement pour la préservation de la nature. Adoptée lors de la COP 15, la cible 19 du cadre de Kunming-Montréal vise à mobiliser 200 milliards de dollars par an d'ici 2030 pour des initiatives en faveur de la biodiversité, incluant des systèmes innovants tels que les crédits biodiversité, les obligations vertes et le paiement des services écosystémiques.

Le concept de crédits biodiversité suscite des débats. Ces crédits, censés représenter une action positive pour la biodiversité, permettent aux entreprises de contribuer financièrement à des projets environnementaux. Toutefois, l’opacité et l’hétérogénéité des approches actuelles préoccupent certains acteurs, qui réclament une meilleure définition de ces crédits. En effet, selon CDC Biodiversité, les crédits biodiversité pourraient fonctionner comme des “certificats nature” sans impliquer de mécanismes de compensation, mais en valorisant uniquement les actions positives pour l’environnement. Alain Karsenty du Cirad et Romain Julliard du Muséum national d’histoire naturelle plaident pour cette approche, qu’ils jugent plus respectueuse des écosystèmes.

La création de marchés crédibles et transparents constitue un autre défi. Plusieurs initiatives émergent pour structurer ces marchés, dont la Biodiversity Credit Alliance et l’IAPB, cette dernière soutenue par la France et le Royaume-Uni. Le rôle des régulateurs publics, en particulier en Europe, est jugé crucial pour définir des normes rigoureuses et garantir l’intégrité des transactions.

Au-delà des règles, la question de l’équité est essentielle. Les pays et communautés qui préservent la biodiversité doivent bénéficier d'un juste retour financier. Laurent Piermont, président du Printemps des terres, et Philippe Zaouati, CEO de Mirova, soulignent que l’État doit établir un cadre clair pour éviter que le marché ne décide seul des priorités de restauration. Un financement public complémentaire est aussi jugé nécessaire pour combler les lacunes que le secteur privé ne peut combler seul.

Les perspectives d’expansion du marché sont ambitieuses : selon le Forum économique mondial, la demande de crédits biodiversité pourrait atteindre 69 milliards de dollars par an d'ici 2050. Néanmoins, des obstacles demeurent, notamment pour garantir la transparence et éviter les écueils rencontrés par les crédits carbone. En réponse, Alain Karsenty propose un système de “certificats nature” englobant diverses composantes de l’environnement, offrant des bénéfices directs aux populations locales et incluant des contributions au climat, à la biodiversité et à la santé des sols.

L’objectif de la COP 16 est d’établir les principes de base pour encadrer ces crédits biodiversité : mesures des résultats, équité pour les protecteurs de la nature et gouvernance des marchés. Ces premières bases pourraient créer un cadre solide pour les crédits biodiversité, là où les crédits carbone n’ont pas su atteindre cet équilibre.
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Vers une cosmétique circulaire : Yves Rocher lance un projet de consigne dans ses magasins pilotes
On connaissait la consigne du verre ou celle du plastique qui se relance fortement en France, mais on ne connaissait pas Yves Rocher sur ce créneau. C'est désormais chose faite.
Yves Rocher, marque engagée dans la cosmétique durable, a lancé un projet pilote de consigne dans trois de ses boutiques à Paris et Rennes. Ce projet, qui s'inscrit dans le programme « Act Beautiful » de la marque, vise à encourager les clientes à rapporter leurs pots vides, en leur offrant une carte cadeau d'un euro par retour. En sélectionnant les soins visage, une catégorie où l’utilisation de verre est importante, Yves Rocher cherche à évaluer la réception de cette initiative par un échantillon représentatif de sa clientèle. Alexandra Ferré, directrice Impact et RSE de la marque, précise que ce choix stratégique est motivé par des facteurs logistiques et de fidélité, Rennes étant un marché historique pour Yves Rocher.

La réponse des clientes a été encourageante dès le lancement, avec une cinquantaine de pots retournés en un mois. Ce chiffre dépasse les attentes, témoignant de l’adhésion rapide des consommatrices. Pour renforcer cette habitude, la marque met en place des rappels par email et SMS. Les retours des clientes, même celles n’ayant pas encore participé, sont positifs, certaines ayant exprimé leur intention de rapporter leurs pots lors de leur prochain passage en boutique.

La logistique, toutefois, représente un défi de taille. Les pots vides sont envoyés à un prestataire pour un nettoyage microbiologique strict, avant d'être renvoyés au site de production en Bretagne. Ce processus de consigne est environ trois fois plus coûteux que le modèle économique linéaire. Malgré le surcoût, Yves Rocher considère cet effort essentiel pour une économie circulaire viable, cherchant des financements auprès d’éco-organismes et des économies d’échelle.

Le projet se fixe un objectif de 10 % de taux de retour d'ici juin 2025 (ce qui nous parait très ambitieux). Atteindre ce seuil confirmerait la pertinence écologique et économique de l'initiative et permettrait son extension à l’échelle nationale. En revanche, un faible taux de retour remettrait en question la viabilité de l’opération. Si le projet s’avère concluant, Yves Rocher envisage de l’étendre à d'autres magasins et de transformer durablement les pratiques de ses clientes. Cette démarche de consigne témoigne de l’ambition de la marque de limiter le plastique à usage unique et de promouvoir la durabilité dans le secteur de la beauté, tout en accompagnant ses clientes vers des choix de consommation plus responsables.

Alors effet "purement marketing" pour ne pas perdre des parts de marché par rapport au digital ou effet réellement durable ?
De toute manière, cela reste une belle action pour notre planète !

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Transformer des Camions thermiques en Camions Electriques
Une belle initiative chez Boulanger (via le site actsandfact.org) qui souhaite d'ici 2-3 ans avoir 100% des camions de livraison de ses prestataires utilisant une énergie alternative.
L'enseigne travaille sur le Rétrofit.
Le rétrofit consiste à supprimer tous les éléments thermiques d’un véhicule d’occasion (moteur, boite de vitesse…) pour les remplacer par un moteur électrique ainsi qu'un variateur.
Chez les transporteurs, ce sont des camions d'occasions qui ont entre 4 et 5 ans qui peuvent être recyclés de cette manière. Autant dire des camions jeunes.

Un projet circulaire de 2nd main également : 
L’avantage du rétrofit est qu’en plus de recycler les camions, le constructeur d’origine récupère les pièces thermiques pour alimenter sa banque de pièces détachées et faire jouer l’économie circulaire. 

Le projet parait économiquement viable : 
Le coût de ces nouveaux engins rétrofités est beaucoup plus abordable, du fait que le véhicule n’est pas neuf et n’est pas conçu 100% électrique au départ. En règle générale, le véhicule rétrofité sera entre 30 à 40% moins cher par rapport à un véhicule équivalent 100% électrique.

Ce type de modèle améliore de 30 à 40% les conditions de travail des employés et permet un gain de rentabilité et de temps. L’autre avantage de ce véhicule est qu’il ne reste ni plus ni moins qu’un tracteur traditionnel et le chauffeur ne perd donc pas ses points de repères de conduite et de manœuvre. 
Pour lire l'intégralité de l'interview c'est ici > https://actsandfacts.org/actualites/le-retrofit-des-vehicules-100-electriques-dans-les-entrepot/


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Effondrement du prix du Lithium : une bonne ou une mauvaise nouvelle pour les batteries et pour l'écologie ?
Le prix du lithium a perdu près de 80% depuis un an. Une bonne nouvelle qui permettrait donc de s'approvisionner de façon plus économique pour accélérer la production de batterie des véhicules électriques.
Sauf que c'est tout le contraire... cette baisse drastique du prix implique surtout une baisse de production des véhicules électriques avec en plus une baisse des subventions en Chine et dans plusieurs pays Européens.
Hors si nous voulons atteindre - ou nous approcher - des objectifs de transition énergétique dans le transport, qui est un des plus gros pollueurs dans le monde, les pouvoirs publics devront soutenir de manière plus pérenne les subventions et sécuriser l'approvisionnement de ces métaux sur lesquels il est prévu une énorme tension d'approvisionnement d'ici dix ans.
Un énorme dilemme avec d'un côté ces métaux rares qui sont extraits avec des moyens énormes en étant gros consommateur de CO2 qui doivent aider en parallèle à diminuer nos émissions de gaz à effet de serre... mais qui au bout du bout rien n'est proposé pour recycler ces batteries pleines de lithium.
Un article passionnant à lire ici >
https://www.novethic.fr/actualite/energie/transition-energetique/isr-rse/chute-des-prix-du-lithium-signe-de-la-fragilite-de-la-transition-energetique-152022.html?utm_source=Abonnés+Novethic&utm_campaign=41f6716088-EMAIL_CAMPAIGN_2024_01_29_04_26&utm_medium=email&utm_term=0_-41f6716088-%5BLIST_EMAIL_ID%5D
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[WEBINAIRE] Le mardi 22 octobre à 14h : Bilan Carbone, ce qui va changer avec la nouvelle méthode
Que vous soyez un praticien occasionnel ou un expert, nous vous recommandons fortement de suivre ce webinaire technique.
L'objectif principal de
https://abc-transitionbascarbone.fr/ : plonger au cœur de la méthode pour la décortiquer avec vous. Nous présenterons les évolutions majeures et les changements concrets pour votre pratique. 

L'association abordera
également les grandes étapes qui suivront cette publication, notamment sa mise en application en 2025 et comment vous mettre à jour gratuitement en tant que formé·e V8.
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Tri des déchets alimentaires : quels impacts économiques ? - Matinale Déchets et Economie circulaire de L'Institut Paris Region
La prise en charge des déchets constitue le premier poste de dépenses pour la majorité des intercommunalités franciliennes : ces dernières lèvent ainsi chaque année plus de 1,7 milliard d’euros pour assurer cette compétence.
L’année 2024 est marquée par l’arrivée de l’échéance posée il y a dix ans pour que les collectivités mettent en place de tri à la source des biodéchets. La majorité des collectivités franciliennes se sont engagées dans des études de faisabilité et plus de 35% d'entre elles disent mettre en place une offre de tri.
L’impact économique reste cependant variable selon les territoires et les choix effectués. Cette rencontre permettra de balayer différents choix de scénarios techniques et leurs conséquences en termes de coûts, mais aussi les les différentes options juridiques permettant d’adapter la mise en œuvre aux besoins des territoires. Seront présentés quelques retours d’expériences de grandes villes européennes afin de mesurer, sur le long terme, l’impact de cette évolution réglementaire.
L’Ordif (Observatoire Régional des Déchets d’Ile-de-France), département Déchets de L’Institut Paris Région, en association avec la Région Ile-de-France et l’Ademe, suit en continu les coûts de la gestion des déchets ménagers et assimilés auprès des collectivités franciliennes. Ceux-ci sont aujourd’hui plutôt bien connus grâce à l’outil "Matrice des coûts" développé par l’Ademe. Cette rencontre sera également l’occasion de présenter les derniers chiffres nationaux et régionaux au titre de l’année 2022.
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