Jacques-Olivier Cuenin certifié.e @gmail.com
Directeur Marketing et digital à temps partagé
Bourghelles
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2923 ActinPoints
Frédéric Foveau certifié.e @foveau.net
Impact RSE : Faiseur de liens Freelance
Cysoing
2 formation(s) | 2 action(s)
786 ActinPoints
Jean-Louis VANHEE certifié.e @sarcouest.fr
Direction Générale : Président SARC
Le Rheu
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468 ActinPoints
Bertrand BRIDIER certifié.e @uphf.fr
Pole Developppement Durable et Responsabilité Sociétale : Econome de flux ZZ-ERASED-Université polytechnique des Hauts de France
Aulnoy-lez-Valenciennes
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134 ActinPoints
Patrice FILLONNEAU certifié.e @credit-plastique.green
Crédit plastique certifié, Je guide les entreprises comme les particuliers vers la neutralité plastique collaborative : Gérant fondateur CREDIT-PLASTIQUE.GREEN
Capbreton
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124 ActinPoints
BRICE SENDRA certifié.e @demetair-vegetalisation.com
Végétalisation : Fondateur DemetAir
Toulouse
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123 ActinPoints
Joey Groult certifié.e @2026.icam.fr
Promo 2026 : Parcours intégré Icam
Lille
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50 ActinPoints
Emilie CLAIRE certifié.e @gmail.com
Accompagnement des initiatives citoyennes de transition : Co-Dirigeante Réseau Transition Hauts-de-France
Wasquehal
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25 ActinPoints
Arthus Vielvoye certifié.e @gmail.com
- Chaumage
Paris 17e Arrondissement
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17 ActinPoints
Fanny CAZARD certifié.e @diorren-conseil.com
Consultant QSE RSE DIORREN Conseil
Paris 1er Arrondissement
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16 ActinPoints
Audrey Guilbert certifié.e @pigscanfly.fr
Communication : Communication digitale Pigs can Fly

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16 ActinPoints
Camille Le Guilloux certifié.e @kerezenn.com
Marketing : Formateur Kerezenn
Bagneux
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14 ActinPoints
Franck Soufflet certifié.e @gmail.com
- Aucune
Leers
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13 ActinPoints
Amaury Bouretz certifié.e @free.fr
Responsable marketing repenti, en cheminement vers des missions durables et responsables ??♻️ ZZ-ERASED-dentsu

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13 ActinPoints
Aline Coquoin Guéridon certifié.e @gmail.com
RSE : Consultant QSE RSE Green Me More
Nîmes
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12 ActinPoints
Nicolas VOGLIMACCI certifié.e @btwin.com
Informatique : Group Product Manager Btwin
Orchies
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12 ActinPoints
Jerome Langlant certifié.e @norsys.fr
Ingénieur d'affaires Norsys
Ennevelin
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12 ActinPoints
Ariane FAVIER certifié.e @yahoo.fr
Founder HOLO WAY
Barberaz
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12 ActinPoints
Éric Wien certifié.e @vmwh.fr
Consultant aux enjeux RSE

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12 ActinPoints
THOMAS DESBONNEZ certifié.e @sergic.com
Chargé de mission transition environnementale Sergic
Roubaix
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12 ActinPoints
Gaëlle Delpech certifié.e @gmail.com
Consultante stratégie RSE - Formatrice RSE
Plaisir
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11 ActinPoints Administrateur
Kasia Salos-Skibinska certifié.e @gmail.com
Facilitatrice de la Transition Écologique Kasia Salos
Tournefeuille
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11 ActinPoints
Agnes Chapelain certifié.e @sncf.fr
Direction développement durable : Responsable RSE SNCF

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11 ActinPoints
Camille Charriot certifié.e @harmonicinc.com
RSE : Coordinatrice RSE Harmonic

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11 ActinPoints
Lucie De Gusseme certifié.e @euratechnologies.com
Programmes : Startup manager greentech Euratechnologies
Lille
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11 ActinPoints
Jeimila Donty certifié.e @korai-africa.com
Direction Générale : Fondatrice Koraï
Lille
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10 ActinPoints
Anthony LESAGE certifié.e @live.fr
Assistant Ressources Humaines

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10 ActinPoints
Marion MAISTRE certifié.e @wanadoo.fr
Chargée de communication & chef de projet RSE Assurance Maladie
Paris 20e Arrondissement
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10 ActinPoints
Nathalie COMMEIRAS certifié.e @umontpellier.fr
Professeur des Universités Université de Montpellier

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10 ActinPoints
Jean-Christophe Rangon certifié.e @gmail.com
Formateur web full stack

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10 ActinPoints
Charlene Theodore certifié.e @laposte.net
Doctorante en sciences de gestion Université de Montpellier

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10 ActinPoints
Inès Dupont certifié.e @gmail.com
Chargée de mission RSE

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10 ActinPoints
Olivier Debarge certifié.e @free.fr
Co-fondateur bizzConnect

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10 ActinPoints
Clement Beauvallet certifié.e @aurevoircarbone.earth
Formation : Co-fondateur Au Revoir Carbone
Chaville
0 formation(s) | 0 action(s)
10 ActinPoints
Eric D'HEM certifié.e @magilist.com
Direction Générale : Fondateur ActinLink
Villeneuve-d'Ascq
1 formation(s) | 17 action(s)
0 ActinPoints
Pierre Durand certifié.e @free.fr
Support Technique : Support Technique ActinLink

0 formation(s) | 136 action(s)
0 ActinPoints
Agathe Marchyllie certifié.e @2025.icam.fr
Promo 2025 : Parcours intégré Icam
Lille
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0 ActinPoints
Voici la liste des idées proposées pour .
Vous pouvez en soutenir en cliquant sur ou cliquer dessus afin d'obtenir plus d'informations, participer ou poser des questions.
Pour ajouter une idée, il vous suffit de cliquer sur le bouton en bas, après avoir vérifié qu'elle n'est pas dans la liste.
Transformer des Camions thermiques en Camions Electriques
Une belle initiative chez Boulanger (via le site actsandfact.org) qui souhaite d'ici 2-3 ans avoir 100% des camions de livraison de ses prestataires utilisant une énergie alternative.
L'enseigne travaille sur le Rétrofit.
Le rétrofit consiste à supprimer tous les éléments thermiques d’un véhicule d’occasion (moteur, boite de vitesse…) pour les remplacer par un moteur électrique ainsi qu'un variateur.
Chez les transporteurs, ce sont des camions d'occasions qui ont entre 4 et 5 ans qui peuvent être recyclés de cette manière. Autant dire des camions jeunes.

Un projet circulaire de 2nd main également : 
L’avantage du rétrofit est qu’en plus de recycler les camions, le constructeur d’origine récupère les pièces thermiques pour alimenter sa banque de pièces détachées et faire jouer l’économie circulaire. 

Le projet parait économiquement viable : 
Le coût de ces nouveaux engins rétrofités est beaucoup plus abordable, du fait que le véhicule n’est pas neuf et n’est pas conçu 100% électrique au départ. En règle générale, le véhicule rétrofité sera entre 30 à 40% moins cher par rapport à un véhicule équivalent 100% électrique.

Ce type de modèle améliore de 30 à 40% les conditions de travail des employés et permet un gain de rentabilité et de temps. L’autre avantage de ce véhicule est qu’il ne reste ni plus ni moins qu’un tracteur traditionnel et le chauffeur ne perd donc pas ses points de repères de conduite et de manœuvre. 
Pour lire l'intégralité de l'interview c'est ici > https://actsandfacts.org/actualites/le-retrofit-des-vehicules-100-electriques-dans-les-entrepot/


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2 soutiens
Le bâtiment s'engage vraiment dans la décarbonation
Fin Avril 2024, les fédérations :
Evolis (organisation professionnelle consacrée aux biens d'équipements d'origine mécanique),
DLR (Fédération nationale des distributeurs, loueurs et réparateurs de matériels de construction et de manutention),
FFB (Fédération française du bâtiment),
FNTP (Fédération nationale des travaux publics)
et le Seimat (Syndicat des entreprises internationales des matériels et de travaux publics, mines et carrières, bâtiment et levage).

« Les équipements de construction, responsables d'environ 20 % des émissions de gaz à effet de serre d'un chantier, ont un rôle significatif à jouer pour réussir le challenge de la décarbonation », soulignent les fédérations, dans un communiqué commun.

prennent des engagements pour décarbonner (la construction est responsable de 20% des émissions de gaz à effet de serre d'un chantier) en :
. explorant activement les alternatives aux motorisations thermiques
. démocratiser les dispositifs stop/start sur les machines
. démocratiser les dispositifs de récupération d'énergie
. promouvoir l'éco-conduite de leurs salariés
. former les collaborateurs à la transition écologique
. mécaniser le recyclage

Enfin me direz-vous ! Bravo pour cette avancée ! 


Pour en savoir plus : 
https://www.actu-environnement.com/ae/news/intermat-ffb-evolis-dlr-fntp-seimat-manifeste-decarbonation-equipements-construction-43966.php4
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2 soutiens
Produire des Citadines Electriques en France est-ce rentable ?
La France peut rester compétitive dans le secteur des petites voitures électriques face à l’Europe de l’Est, l’Espagne, mais aussi la Chine, souligne une étude réalisée par la Fondation pour la Nature et l’Homme et l’IMT-IDDRI, qui plaide pour une relocalisation de la production. 

Une étude à comparé le prix de revient théorique sur notre territoire (dans une région telle que les Hauts-de-France) avec une fabrication qui serait délocalisée en Espagne, en Slovaquie ou en Chine. La  conclusion est claire : à échéance 2030, la production française peut être compétitive face à tous ces pays. Avec à la clef, la relocalisation de la production de 700 000 citadines et la création de 25800 emplois sur notre territoire.

D’après les calculs, l’écart de compétitivité ne dépasserait pas 2% à 2,5% entre la France et les autres pays européens en 2030, soit une différence de prix estimée entre 260 à 400 euros. Un écart qui ne justifierait pas des délocalisations.

L’écart de compétitivité est plus important avec la Chine : celui-ci grimpe à au moins 6%, soit  une différence de coût de revient d’environ 1000 euros par véhicule. Mais cet écart peut être « compensé » estiment les deux acteurs. Deux outils ont été envisagés : l’augmentation des droits de douane, comme l’envisage la Commission Européenne, et la valorisation de l’empreinte carbone des véhicules au sein de différents outils réglementaires sur l’exemple de l’éco-score appliqué au bonus écologique, qui permet de disqualifier les véhicules produits en Chine qui ne pourraient pas en bénéficier. « Les 4000 euros proposés aux consommateurs dans le cadre du bonus écologique viennent en effet très largement compenser l’écart de compétitivité de 1000 euros en faveur de la Chine », détaille l’étude.

Sources :
environnement-magazine
et enviro-pro

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2 soutiens
Des batteries plus ... durables ?
Les batteries haute performance, capables de se recharger rapidement, de durer longtemps et de garantir une densité énergétique élevée, représentent un enjeu majeur pour l’avenir de l’énergie. Le projet franco-allemand HiPoBat – High Power Batteries, lancé début mai et financé par le ministère fédéral allemand de l’Éducation et de la Recherche, se concentre sur le développement de batteries solides haute performance. Ce projet, coordonné par le Centre de recherche de Jülich, s’étendra sur trois ans.

Le projet HiPoBat vise à développer des batteries solides haute performance afin de réduire les pressions écologiques, géopolitiques et économiques dans le domaine du stockage d’énergie électrochimique. Les chercheurs se concentrent sur la création de batteries qui combinent une densité énergétique élevée et une densité de puissance adéquate.

La densité énergétique indique la durée d’utilisation d’une batterie avant qu’elle ne doive être rechargée, tandis que la densité de puissance mesure la rapidité avec laquelle une batterie peut fournir et libérer de l’énergie. La combinaison de ces deux propriétés représente un défi majeur.

Applications des batteries haute performance

Les batteries haute performance trouvent des applications variées. Dans le domaine de l’électromobilité, elles pourraient offrir une alternative aux batteries actuelles en permettant une recharge en moins de 10 minutes pour une autonomie de 300 kilomètres. Elles sont également utilisées dans les véhicules hybrides pour soutenir le moteur à combustion interne lors de l’accélération et récupérer l’énergie lors du freinage.

Les outils électriques sans fil et les systèmes d’alimentation ininterrompue (UPS) bénéficient également de ces batteries. Ces systèmes sont essentiels pour maintenir les processus industriels, les systèmes de communication, les systèmes vitaux et la stabilisation des réseaux électriques en cas de coupures de courant.

Défis techniques et innovations

Les scientifiques allemands et français cherchent à surmonter le dilemme de la densité énergétique et de la performance en charge et décharge. Ils étudient le comportement des ions et des électrons dans la batterie lors de ces processus, ainsi que le réchauffement des cellules. Les technologies actuelles des batteries lithium-ion et sodium-ion avec électrolytes liquides servent de référence.

De nouveaux matériaux, des conceptions de cellules innovantes et une meilleure compréhension du processus de vieillissement des batteries devraient permettre le développement de batteries solides à base de lithium et de sodium. Les propriétés intrinsèques des matériaux, telles que la conductivité ionique et électronique, ainsi que la forme et la taille des particules, jouent un rôle crucial.


Source : https://enviropro-salon.com/fr-fr/douai/





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2 soutiens
2000 véhicules utilitaires passent à l'électrique avec Gruau
Le carrossier-constructeur lavallois Gruau et la start-up spécialisée dans le retrofit des véhicules Qinomic annoncent leur collaboration afin d’industrialiser la solution développée par Qinomic pour transformer les véhicules utilitaires en véhicules électriques. Dans le cadre de ce partenariat, le groupe Gruau met à la disposition de Qinomic son savoir-faire ainsi que son outil de production.

Après son rapprochement avec le groupe Stellantis en janvier 2023, Qinomic accélère encore vers la mobilité décarbonée avec le spécialiste de la transformation de véhicules. Car si elle est techniquement aboutie, la solution de retrofit ne pourra se démocratiser qu’en s’adossant à des industriels capables de démultiplier l’offre. Or, le développement du retrofit est inscrit dans le cadre fixé par le gouvernement en tant que levier de décarbonation du secteur du transport afin d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050.


Ainsi, Qinomic va pouvoir s’appuyer sur un outil de production dont la flexibilité permet d’appréhender la transformation de véhicules uniques jusqu’à la moyenne série afin de cibler plus largement les clients professionnels utilisateurs de VUL. Ces derniers pourront bénéficier d’une solution non seulement durable, mais aussi abordable pour migrer vers une mobilité zéro émission tout en réduisant leur TCO. Car cette solution nécessite un investissement deux fois moins important qu’un renouvellement par l’achat de véhicules neufs électriques et permet de réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 50 % (source : Ademe 2021).

Pour le groupe Gruau, cette association se justifie d’autant plus que l’entreprise est engagée depuis plusieurs années dans une démarche RSS2E (responsabilité sociale, sociétale, environnementale et économique). Elle fait suite à une précédente annonce en septembre 2023 du groupe lavallois qui officialisait un partenariat stratégique avec Rev Mobilities, spécialisée dans le retrofit des VU et VI, afin de cibler prioritairement les parcs de bus et autres cars scolaires et interurbains.





Source :https://www.lejournaldesentreprises.com/
https://www.groupegruau.com/la-revolution-electrique-en-marche-chez-gruau/

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2 soutiens
Une première usine de reconditionnement d’électroménager dans les Ardennes
Cinquième ville des Ardennes, nichée au cœur de la vallée de la Meuse, la  ville de Revin (5 800 habitants) abrite "Électro-Sphère", un site de reconditionnement qui vise à favoriser et à développer l’économie circulaire, et à revitaliser par ce biais l’emploi local. 

Pour mieux se développer, Electro-Sphère s’est associée à Reconomia, une start up du Groupe United.B lancée en 2021 et justement consacrée à la circularité du secteur électroménager. «Avec vingt-cinq collaborateurs et un réseau de 150 artisans, l’entreprise a lancé un modèle unique permettant de tripler les objectifs de reconditionnement des déchets électroniques et électroménagers fixés par la loi.», explique la start-up qui s’appuie sur deux axes principaux: un réseau local de reconditionnement, et l’usage des dernières technologies pour optimiser le réemploi. 

Actuellement seulement 1% des gros produits  électroménagers sont aujourd’hui reconditionnés (contre 10% du côté des smartphones). Concrètement, Reconomia permet à Électro-Sphère d’avoir accès à une large gamme de produits hors d’usage afin de leur offrir une seconde vie. Charge à elle, ensuite, de les revendre à petits prix dans sa boutique de Revin et dans ses magasins partenaires (à savoir les enseignes Électro Dépôt de la région ardennaise, et bientôt chez Boulanger qui font partie du Groupe United B). Ceci, après une remise en état qui s’appuie -entre autres- sur le savoir-faire des anciens professionnels de l’usine Electrolux qui ont désormais rejoint l’usine. De son côté, afin de limiter autant que possible son impact carbone, Reconomia se repose sur un réseau de reconditionneurs locaux et veille à les accompagner dans leur croissance. 

Pour l’heure, entre 150 et 200 produits sortent chaque mois de l’usine Electro-sphère de Revin, quand le reconditionneur se donne un objectif 500 à la fin de 2025. Le potentiel est énorme et le chemin sera encore long pour arriver aux 10% de déconditionnés comme sur les mobiles.




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Dunkerque : la nouvelle perle verte de la France ?
"Notre objectif est de faire d’un territoire émetteur de CO2, un territoire émetteur de solutions. Par exemple, en se positionnant comme un laboratoire de la décarbonation industrielle en France, Dunkerque attire des investisseurs comme Verkor et Prologium." indique Jean-François Montagne, vice-président de la Communauté urbaine de Dunkerque.
Les mots sont forts et démontrent l'ambition et la transformation que va connaître - et qui a déjà commencé - cette ville industrielle du nord de la France.

La contrainte majeure de notre territoire est de réduire nos émissions de CO2, car il concentre à lui seul 20 % des émissions de CO2 d’origine industrielle française. Le choix a été fait de développer une stratégie de décarbonation des plus ambitieuses qui résulte en de nombreuses opportunités. C’est un plan d’action à 360° qui est décliné par la Communauté urbaine de Dunkerque, par les industriels, et le Grand Port maritime de Dunkerque pour encourager nos acteurs locaux.
De plus, le projet de reconquête du Môle 2, verra l'ouverture en septembre 2024 d'un parc d'activités et de formation dédié à la transition énergétique et à l'innovation locale pour permettre aux entreprises, start-ups et étudiants-ingénieurs d'expérimenter et d'innover. Le dispositif Eco-Gagnant offre également, par le biais de stratégies "gagnant-gagnant", plus de pouvoir d’achat aux habitants du territoire tout en protégeant notre environnement.

Dunkerque ne deviendra pas le poumon vert de la France, il y contribuera fortement c'est certain. Les enjeux sont à la fois écologiques et également économiques pour la région.

Dunkerque avec sa communauté urbaine berceau historique des Assises Européennes de la Transition Énergétique, accueilleront la 25e édition du 10 au 12 septembre 2024 au Kursaal de Dunkerque. Pendant ces trois jours, les assises mettront en lumière les défis actuels et les solutions innovantes pour les surmonter, à travers plus de 120 ateliers, 12 plénières, 7 conférences et 10 visites de terrain.

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2 soutiens
2 soutiens
Accélérateur Eau : Un Programme de Soutien pour Booster les PME du Secteur de l'Eau
Le ministère de l’Économie et des Finances, en collaboration avec la filière française de l’eau, lance la troisième édition de l’Accélérateur Eau, un programme destiné à accompagner la croissance des PME du secteur. Ce dispositif gratuit, d’une durée de 18 mois, propose un soutien complet aux entreprises volontaires pour les aider à se structurer et à se développer, tout en favorisant la création d’un réseau d’entrepreneurs dans le secteur de l’eau.

Les PME participantes bénéficieront de six journées de formation dispensées par une école de commerce, axées sur les grands aspects de la gestion d’entreprise. En plus de cela, quatre journées seront consacrées aux enjeux spécifiques à la filière de l’eau, et un parcours personnalisé d’e-learning sera disponible via la plateforme Bpifrance Université.

15 PME seront sélectionnées pour participer à ce programme. Les critères de sélection incluent un effectif d’au moins 10 salariés, un chiffre d’affaires minimum de 2 millions d’euros, et une création d’entreprise remontant à plus de trois ans.

Les candidatures pour rejoindre cette troisième promotion sont ouvertes jusqu’au 22 octobre, avec les dossiers à déposer sur la plateforme de Bpifrance. Ce programme représente une opportunité unique pour les PME du secteur de l’eau de dynamiser leur activité et de relever les défis de demain.

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2 soutiens
Hydrogène Naturel et Hélium : Une Alliance pour des Gaz Durables en Circuit Court
L’entreprise messine 45-8 Energy, spécialisée dans l’exploration et la production de gaz industriels écoresponsables, tels que l’hydrogène naturel et l’hélium, a franchi une nouvelle étape en s’associant avec la société britannique H2Au. Ensemble, ces deux acteurs du secteur lancent une alliance stratégique aux États-Unis avec deux projets phares : Humboldt et Fayette. Cette collaboration a pour objectif de développer la filière émergente de l’hydrogène naturel et de l’hélium sur le sol américain.

Deux ans après avoir formé cette alliance pour accélérer le développement de ces ressources aux États-Unis, 45-8 Energy et H2Au matérialisent leur vision en lançant ces deux projets d’exploration. Le projet Humboldt cible la crête de Nemaha, au Kansas, une région réputée pour son potentiel en hydrogène et en hélium. Les terrains sécurisés par l’Alliance sont situés près de la faille "Humboldt", où les conditions géologiques sont propices à une production efficace de ces deux gaz. Ces parcelles sont situées à moins de 10 kilomètres du puits historique Sue Duroche-2, célèbre pour ses indices élevés d’hydrogène naturel.

Quant au projet Fayette, il repose sur une étude géologique approfondie menée par l'Alliance. Ce site présente un potentiel prometteur pour la production d’hydrogène naturel, grâce au phénomène de serpentinisation, un processus naturel par lequel des roches riches en fer réagissent avec de l’eau infiltrée, libérant des molécules d’hydrogène. Ce procédé pourrait jouer un rôle clé dans l’exploitation durable de l’hydrogène naturel.

Dans ces deux projets, H2Au sera l’opérateur principal, tandis que 45-8 Energy participera à hauteur de 40 % dans le projet Humboldt et de 30 % dans le projet Fayette. Nicolas Pelissier, co-fondateur de 45-8 Energy, a exprimé sa confiance dans cette alliance : « Il s’agit d’une alliance entre deux pionniers possédant une expérience unique dans la filière de l’hydrogène naturel. Avec nos technologies propriétaires, nos bases de données et nos équipes expérimentées, je suis convaincu que nous sommes prêts à nous développer rapidement aux États-Unis. »

Pour soutenir ces deux projets, une levée de fonds est envisagée. L’Alliance espère obtenir les financements nécessaires pour faire avancer Humboldt et Fayette, tout en restant alignée sur les enjeux environnementaux. En effet, les co-fondateurs de 45-8 Energy ont une vision claire : développer des solutions écoresponsables pour répondre aux défis environnementaux liés à la production et à la consommation de gaz industriels.

Les constats sur lesquels repose cette démarche sont alarmants. Actuellement, 100 % de l’hélium consommé en Europe de l’Ouest est importé des États-Unis, du Qatar et de l’Algérie, engendrant des coûts énergétiques élevés. De plus, 95 % de l’hydrogène consommé dans le monde provient du vaporeformage d’hydrocarbures et de charbon, un processus qui émet entre 10 et 12 tonnes de CO₂ pour chaque tonne d’hydrogène produite. Ces émissions non gérées contribuent directement aux gaz à effet de serre.

C’est dans ce contexte que 45-8 Energy a été fondée en 2017 par cinq associés désireux de mettre leurs compétences géologiques au service d’une exploration écoresponsable. Leur ambition : développer la production de deux gaz stratégiques, l’hydrogène naturel et l’hélium, tout en valorisant ces ressources dans un circuit court. Leur approche pionnière est unique en Europe et vise à réduire l’empreinte carbone de ces gaz industriels tout en augmentant leur accessibilité.

Avec Humboldt et Fayette, 45-8 Energy et H2Au ouvrent une nouvelle page dans la production de gaz durables, renforçant ainsi leur position en tant que leaders de cette filière émergente.

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2 soutiens
Engagement mondial pour la biodiversité : Objectif 2030 en ligne de mire
La COP16 Biodiversité s'est ouverte le 21 octobre 2024 à Cali, Colombie, pour deux semaines de discussions cruciales sur la mise en œuvre de l'Accord de Kunming-Montréal, adopté en 2022, visant à inverser la perte de biodiversité d'ici 2030. Cette conférence s'articule autour de plusieurs enjeux majeurs, dont le bilan des stratégies nationales en matière de biodiversité : seulement 31 pays, dont la France, ont soumis leur Stratégie et Plan d'Action Nationaux pour la Biodiversité (SPANB). La COP16 est espérée comme un tremplin pour accroître les engagements d'ici la COP17.

Un autre point clé est le financement, avec un objectif de 20 milliards de dollars d'ici 2025. Si les financements ont déjà atteint 15,4 milliards, les pays africains demandent un fonds dédié à la biodiversité, indépendant du Fonds pour l’environnement mondial (FEM), une demande vivement débattue.

L’accord de Kunming-Montréal impose également aux États de s'accorder sur 23 cibles et de fixer des indicateurs pour évaluer les avancées d’ici la COP17 en 2026. Enfin, la COP16 se distingue par une participation record de 18 000 personnes et un fort engagement des entreprises : plus de 230 d'entre elles, dont de grandes firmes françaises, soutiennent l'appel à une "ambition politique renouvelée". Une plateforme spécifique, « Entreprises et biodiversité », vise à accompagner les entreprises dans la réduction de leur impact environnemental.

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2 soutiens
Une stratégie commune pour adapter les entreprises à un monde en mutation climatique
Le Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC3), récemment dévoilé et soumis à consultation publique, propose une stratégie pour adapter la France à des conditions climatiques plus extrêmes. Ce document, conçu comme une réponse aux défis croissants du réchauffement, reste cependant peu contraignant pour les entreprises, tout en mettant l’accent sur l’évaluation et la sensibilisation.

Adapter les conditions de travail à la réalité climatique
En France, 14 à 36 % des travailleurs sont exposés à des fortes chaleurs, un problème qui affecte particulièrement des secteurs comme le BTP. Le PNACC3 promet de renforcer les mesures de prévention des risques professionnels dès 2025, notamment via des discussions avec les partenaires sociaux. Cependant, les définitions des seuils critiques de "fortes chaleurs" restent à affiner.

Évaluer la vulnérabilité et inciter les entreprises à agir
Le plan rendra progressivement obligatoires les études de vulnérabilité au changement climatique pour les grandes entreprises et infrastructures stratégiques dès 2025. Cette démarche vise à intégrer les risques climatiques dans la planification et à encourager la résilience des chaînes logistiques par des études sectorielles. Bien que non contraignant à date, un guide de référence devrait être publié en 2025 pour orienter les entreprises dans leurs plans d’adaptation.

Accompagner les secteurs prioritaires
Le PNACC3 cible des secteurs vulnérables comme l’agriculture et l’énergie. Des études prospectives et stress tests sont prévus pour anticiper les impacts climatiques sur les réseaux électriques et les productions agricoles. Cependant, les mesures concrètes restent limitées, se concentrant davantage sur la collecte de données et la formation.

Une réforme assurantielle en perspective
Le secteur de l’assurance est également dans le viseur, avec un rapport attendu pour 2025 sur l’assurabilité des risques climatiques. Alors que le coût des dommages pourrait augmenter de 50 % d’ici 2050, le PNACC3 met en avant la nécessité d’un observatoire des risques pour aider à mieux gérer ces défis.

Des pistes pour une meilleure adaptation
Des experts, comme Fabrice Bonnifet du Collège des directeurs développement durable, proposent des initiatives complémentaires, notamment une réduction annuelle de 5 % des émissions de GES et une régulation des mal-adaptations, telles que l’usage excessif de la climatisation. Ces propositions visent à inciter les entreprises et collectivités à intégrer l’adaptation dans leurs décisions stratégiques.

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2 soutiens
Vers une cosmétique circulaire : Yves Rocher lance un projet de consigne dans ses magasins pilotes
On connaissait la consigne du verre ou celle du plastique qui se relance fortement en France, mais on ne connaissait pas Yves Rocher sur ce créneau. C'est désormais chose faite.
Yves Rocher, marque engagée dans la cosmétique durable, a lancé un projet pilote de consigne dans trois de ses boutiques à Paris et Rennes. Ce projet, qui s'inscrit dans le programme « Act Beautiful » de la marque, vise à encourager les clientes à rapporter leurs pots vides, en leur offrant une carte cadeau d'un euro par retour. En sélectionnant les soins visage, une catégorie où l’utilisation de verre est importante, Yves Rocher cherche à évaluer la réception de cette initiative par un échantillon représentatif de sa clientèle. Alexandra Ferré, directrice Impact et RSE de la marque, précise que ce choix stratégique est motivé par des facteurs logistiques et de fidélité, Rennes étant un marché historique pour Yves Rocher.

La réponse des clientes a été encourageante dès le lancement, avec une cinquantaine de pots retournés en un mois. Ce chiffre dépasse les attentes, témoignant de l’adhésion rapide des consommatrices. Pour renforcer cette habitude, la marque met en place des rappels par email et SMS. Les retours des clientes, même celles n’ayant pas encore participé, sont positifs, certaines ayant exprimé leur intention de rapporter leurs pots lors de leur prochain passage en boutique.

La logistique, toutefois, représente un défi de taille. Les pots vides sont envoyés à un prestataire pour un nettoyage microbiologique strict, avant d'être renvoyés au site de production en Bretagne. Ce processus de consigne est environ trois fois plus coûteux que le modèle économique linéaire. Malgré le surcoût, Yves Rocher considère cet effort essentiel pour une économie circulaire viable, cherchant des financements auprès d’éco-organismes et des économies d’échelle.

Le projet se fixe un objectif de 10 % de taux de retour d'ici juin 2025 (ce qui nous parait très ambitieux). Atteindre ce seuil confirmerait la pertinence écologique et économique de l'initiative et permettrait son extension à l’échelle nationale. En revanche, un faible taux de retour remettrait en question la viabilité de l’opération. Si le projet s’avère concluant, Yves Rocher envisage de l’étendre à d'autres magasins et de transformer durablement les pratiques de ses clientes. Cette démarche de consigne témoigne de l’ambition de la marque de limiter le plastique à usage unique et de promouvoir la durabilité dans le secteur de la beauté, tout en accompagnant ses clientes vers des choix de consommation plus responsables.

Alors effet "purement marketing" pour ne pas perdre des parts de marché par rapport au digital ou effet réellement durable ?
De toute manière, cela reste une belle action pour notre planète !

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Climat et énergie : le gouvernement fixe le cap vers la neutralité carbone
Le gouvernement (l'ex désormais même si l'objectif reste le même) a dévoilé ses nouvelles feuilles de route pour l’énergie et le climat en octobre dernier, avec la troisième version de la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC 3) et la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE). Ces documents, élaborés sous l’impulsion de l’ex-ministre Agnès Pannier-Runacher, marquent une continuité dans les ambitions climatiques malgré les changements de gouvernement. Ils visent un objectif commun : une transition énergétique et climatique ambitieuse pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050.

Des objectifs climatiques renforcés
La SNBC 3 fixe une réduction de 50 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport à 1990, en conformité avec les engagements européens. Cela impose une baisse annuelle de 5 % des émissions, contre seulement 2 % en moyenne entre 2017 et 2022. Si l’objectif est jugé atteignable, il repose sur des mesures existantes et un ciblage accru des financements, malgré des baisses budgétaires annoncées.

Le texte souligne également la nécessité de réduire l’empreinte carbone globale, en incluant les émissions importées. Une évolution notable est la prise en compte des capacités d’absorption du carbone par les forêts et les sols, dont l’efficacité a fortement diminué en raison du réchauffement climatique. La SNBC ajuste ces prévisions à la baisse, tout en promettant de renforcer les actions pour préserver ces puits de carbone naturels.

Vers un mix énergétique décarboné
La PPE détaille les actions nécessaires pour réduire la dépendance aux énergies fossiles. Elle prévoit une montée en puissance des énergies renouvelables, avec des objectifs de 54 à 60 GW pour le photovoltaïque et de 18 GW pour l’éolien offshore d’ici 2035. En parallèle, six nouveaux réacteurs nucléaires de type EPR seront construits, pour maintenir une production annuelle de 360 à 400 TWh.

L’ambition est de transformer un modèle énergétique encore à 60 % carboné en un modèle 60 % décarboné d’ici 2030. Cette transition inclut des efforts majeurs en matière d’efficacité énergétique, comme la rénovation de 400 000 maisons et 200 000 logements collectifs par an, et une baisse de 28,6 % de la consommation énergétique finale entre 2012 et 2030.

Décarboner les transports et les mobilités
Les transports, responsables de 32 % des émissions nationales, sont un axe clé de la stratégie. La PPE fixe pour objectif que deux tiers des voitures neuves vendues en 2030 soient électriques, avec une augmentation progressive de leur part dans le parc automobile.

Des ambitions maintenues malgré les transitions politiques
Ces plans, en consultation publique jusqu’à la fin de l’année, seront soumis au Haut Conseil pour le climat avant leur publication par décret en 2025. Bien que le contexte politique ait évolué, le cap fixé reste inchangé, confirmant l’engagement commun du gouvernement dans la lutte contre le réchauffement climatique. En conciliant sobriété, énergies renouvelables et innovation technologique, ces textes visent à assurer une transition énergétique durable tout en respectant les engagements de la France au sein de l’Union européenne.

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Sobriété et écoconception : des clés pour un audiovisuel durable
L’audiovisuel, bien qu’il ne représente actuellement que 0,9 % de l’empreinte carbone française, pourrait voir ses émissions augmenter de 30 % d’ici 2030 en l’absence de mesures correctives. C’est la conclusion alarmante d’une étude commandée par l’Arcom et l’Arcep, en partenariat avec l’ADEME. Alors que le secteur continue de croître avec une multiplication des écrans et des usages connectés, la nécessité d’adopter des stratégies alliant écoconception et sobriété devient cruciale.

Les terminaux, principaux responsables
Selon l’étude, les terminaux – téléviseurs, smartphones, tablettes – génèrent 72 à 90 % de l’impact carbone des usages audiovisuels, principalement lors de leur fabrication. Parmi eux, les téléviseurs linéaires se démarquent comme les plus polluants, représentant 52 % de l’empreinte carbone du secteur, en raison de leur prévalence et de la grande taille de leurs écrans. Les réseaux (9 à 26 %) et les centres de données (1 à 3 %) complètent le tableau des contributions à l’empreinte carbone. À titre de comparaison, la radio hertzienne représente 19 % des usages audiovisuels mais seulement 13 % de l’empreinte carbone.

Un besoin urgent de sobriété et d’écoconception
Pour limiter cette hausse, les experts recommandent des mesures d’écoconception, telles que l’allongement de la durée de vie des terminaux et la réduction de leur consommation énergétique. Cependant, ces initiatives seules ne suffisent pas. La sobriété est également essentielle pour contrer l’effet rebond, causé par l’augmentation des usages, notamment avec la généralisation de la 5G. Les mesures de sobriété incluent la limitation des résolutions vidéo et audio, l’utilisation du Wifi au lieu de la 4G, et la réduction des usages intensifs comme le streaming.

Un effort collectif nécessaire
La combinaison de l’écoconception et de la sobriété pourrait réduire d’un tiers l’empreinte carbone de l’audiovisuel d’ici 2030. Cependant, cette transformation exige un effort concerté des fabricants, des fournisseurs et des utilisateurs. Le président de l’Arcom, Roch Olivier Maistre, a appelé à une mobilisation active et collaborative pour adopter de meilleures pratiques et intégrer la durabilité dans les comportements et les produits.

Passer de l’analyse à l’action
L’étude offre pour la première fois une analyse complète de l’impact environnemental de l’audiovisuel en France. Elle met en lumière l’urgence d’agir pour éviter que le secteur ne devienne une source significative de pollution carbone. Selon l’Arcom, il est désormais temps de passer de la réflexion à l’action pour concilier développement audiovisuel et responsabilité environnementale.

Est-ce que le grand public est prêt à faire les efforts ? Dans l'esprit certainement, dans la réalité beaucoup moins. 

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Effondrement du prix du Lithium : une bonne ou une mauvaise nouvelle pour les batteries et pour l'écologie ?
Le prix du lithium a perdu près de 80% depuis un an. Une bonne nouvelle qui permettrait donc de s'approvisionner de façon plus économique pour accélérer la production de batterie des véhicules électriques.
Sauf que c'est tout le contraire... cette baisse drastique du prix implique surtout une baisse de production des véhicules électriques avec en plus une baisse des subventions en Chine et dans plusieurs pays Européens.
Hors si nous voulons atteindre - ou nous approcher - des objectifs de transition énergétique dans le transport, qui est un des plus gros pollueurs dans le monde, les pouvoirs publics devront soutenir de manière plus pérenne les subventions et sécuriser l'approvisionnement de ces métaux sur lesquels il est prévu une énorme tension d'approvisionnement d'ici dix ans.
Un énorme dilemme avec d'un côté ces métaux rares qui sont extraits avec des moyens énormes en étant gros consommateur de CO2 qui doivent aider en parallèle à diminuer nos émissions de gaz à effet de serre... mais qui au bout du bout rien n'est proposé pour recycler ces batteries pleines de lithium.
Un article passionnant à lire ici >
https://www.novethic.fr/actualite/energie/transition-energetique/isr-rse/chute-des-prix-du-lithium-signe-de-la-fragilite-de-la-transition-energetique-152022.html?utm_source=Abonnés+Novethic&utm_campaign=41f6716088-EMAIL_CAMPAIGN_2024_01_29_04_26&utm_medium=email&utm_term=0_-41f6716088-%5BLIST_EMAIL_ID%5D
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L'emballage réutilisable pour le e-commerce : une solution pour limiter l'impact écologique
Des chiffres qui font mal à la tête concernant l'emballage utilisé en e-commerce en France (imaginez au niveau mondial) : 1,7 milliards de colis livrés soit 241 millions de tonnes d'emballages dont une partie beaucoup trop faible est recyclé avec seulement 14% du plastique recyclé et par contre 64% du papier / carton recyclé. C'est déjà cela mais ce n'est pas assez.
Le e-commerce représenterait près de 10% des émissions de GES : c'est énorme.
Les enjeux étant déjà de limiter les allers/retours des colis et donc des essais "gratuits" par les consommateurs achetant en e-commerce, c'est à dire, presque tout le monde. La solution numéro un étant de mettre un prix minimum dissuasif de frais de livraison, un peu dans le même principe que l'achat de livre en ligne - mais dont l'objectif premier était tout autre.
La solution numéro étant d'utiliser des emballages réutilisables comme peuvent le proposer plusieurs marques avec par exemple Hipli qui propose un emballage fabriqué en matière recyclée, qui soit réutilisable jusqu'à 100 fois avec un -83% d'impact carbone.
D'autres marques proposent des solutions d'emballages recyclés et recyclages comme mobiuspack et opopop.
Cela demande un investissement pour l'entreprise partenaire, mais apporte une solution à impact forte pour notre environnement, une excellente image auprès des clients et de l'interne et surtout une réduction des déchets énorme (-25 kg de déchets en utilisant un colis réutilisable).
Une nouvelle expérience qui doit devenir à terme une habitude d'utilisation indispensable.

Une partie des acteurs proposant ces colis à impact : 
https://opopop.co
https://hipli.fr
https://www.mobiuspack.com

L'article source. Vous pouvez trouvez d'autres articles dans les pages des acteurs des colis.
https://www.ecommerce-nation.fr/colis-reutilisable-enjeu-ecommerce/
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